Manoir Von Elea

Les mains du démon venaient flatter les bourses du jeune homme, tandis que ses mouvements de langue et de lèvres eux s'emplifiaent. Son but était que Cédric n'en puisse plus, et qu'il se laisse aller, aussi, quand il le supplia presque d'arrêter, il intruduit alors doucement un doigt en lui, et partit à la recherche de sa prostate, pour le faire craquer. Ca oui... Il allait le faire craquer, et quand cela serait fait, il n'aurait pas un seul instant de répis...

Wolfgang sentit alors tout le corps de son amant se contracter, tandis qu'il liquide chaud coulait doucement dans sa gorge. Tandis que Cédric se laissait tomber sur le matelat, wolfgang en pleine forme, dans tout les sens du therme, le chevaucha, et approcha son visage de celui de cédric, sans dire un mot, puis, il l'embrassa fougeusement, alors qu'il avait encore un peu de sperm sur la lèvre inferieur.

En même temps, il avait approché son sexe de celui de Cédric, ils frotèrent l'un contre l'autre quelques secondes, puis, le membre de Wolfgang partit dans le sillon des fesses de son amant, qu'il pénétra dans un mélange de fougue et de douceur. assez de fougue pour le surprendre, mais assez de douceur pour qu'il n'ai pas mal.

Il amorca rapidement des mouvements de vas et vient très emplifiés, il se retirait preseuq entièrelment, pour ensuite venir frapper contre le point de plaisir de son esclave. Un gémissait, de plus en plus, assez fort, il n'avait pas à se retenir, de toutes facons, il n'avait pas vraiment l'esprit assez lucide pour se dire qu'on pouvait l'entendre et qu'il fallait peut etre être plus discret...

-Quoi... tu n'aimes pas la vitesse ? Dit-il entre deux gémissements. J'aime aller vite, et j'aime ne laisser aucun répis a mon amant... Ce c'est pas une jouissance qui valait la peine d'être retenue... Retiens celle ci... Je vais t'enmmener au septième ciel.

Au moment où il senti le doigt de son maître entrer en lui, Cédric fut emporté par la jouissance... Et l'homme s'étendi sur lui et l'embrasse. Cédric passa sa langue sur les lèvres avides du démon, goutant ainsi sa propre semence. Le contact du membre durci de son maître électrisa à nouveau le jeune humain à une vitesse extraordinaire. Il passa ses bras autours du coup de son maître et répondit à son baiser.

Quand le sexe du blond entra en lui, Cédric poussa un cri de plaisir et de surprise, mais la douleur, si elle avait été présente, fut furtive et disparu bien vite... Il se cramponna aux épaules de son maître, les griffant légèrement et enroula ses jambes autour des hanches de l'homme.

Les gémissements de son maître se faisaient entendre et ils étaient accompagnés par les siens. Il ne pouvait pas se retenir tellement le plaisir l'envahissait... Il se hissa en tirant sur ses bras pour amener ses lèvres près des oreilles de son maître et il les mordilla un instant avant de sussurer:

"Je ne suis... pas sûr... de pouvoir tenir... Ce que vous me faite... c'est tellement... c'est la première fois pour moi... et je... aaaaaaaaah... mmmmm... Maître... comment vous appelez vous ?"

Prononcer le mot de "maître" ne le gêna pas cette fois-ci, mais le plaisir qui c'était emparé de lui était trop fort pour lui permettre de réflechir... Et il voulait connaitre le nom de son amant pour pouvoir le crier sans relache... Il se laissa à nouveau tomber sur les coussins en gémissant de plaisir, les yeux clos, alors que ses doigts s'enfoncaient dans la peau fine du démon.

Wolfgang. C'était un nom à consonnance germanique, très noble, très respectable... Mais Cédric ne pensa pas cela, il se contenta de le prononcer dans un soupire de plaisir... Puis de le répéter en gémissant... Ce nom emplit rapidement la pièce, accompagné de "oh oui", de "encore", de gémissements et autres onomatopées exprimant très clairement le plaisir et le désir... Il ressera encore le prise de ses jambes, ondulant du bassin au rythme de son amant, cognant fortement leurs hanches l'une à l'autre. Sa mains se perdit dans les cheveux doux au moment où le démon l'embrassa. Il ne voulait pas que cela cesse, il en voulait encore, il se perdait dans le plaisir qu'il ressentait... Mais se plaisir prenait de plus en plus d'ampleur et quand l'homme commenca à griffer son torse, il se tordi, se cambrant encore plus. Sa tête roulait sur les coussins et il appela encore ce nom:

"Wolfgang... Wolfgang... Je ne vais plus tenir... C'est tellement... Je vais... Non ! Pas maintenant... Encore... Je vais... aaah... Wolfgang..."

C'était un appel à la délivrance, il sentait qu'il ne tiendrait plus, son corps le brûlait, était recouvert de sueur, ses reins étaient en feu, sa tête tournait, il tremblait, sa respiration accelerait encore, cela en devenait douloureux...

Alors que son maître se libérait en lui et que ses coups de butoire accéléraient encore, Cédric se laissa aller au plaisir. Son cri rejoint celui de son amant du soir et ses ongles s'enfoncèrent dans la peau de ses épaules. Le jeune humain ne senti même pas la douleur sur ses propres épaules et, une fois que le plaisir commenca à refluer. Il se laissa aller sur le lit, ses jambes retombèrent, ses bras aussi, sa tête était tounée sur le côté. Sa réspiration était douloureusement rapide. Il n'avait jamais connu un tel plaisir. Son coeur battait à tout rompre dans sa poitrine. Il n'était plus capable de bouger, son corps ne le lui aurait pas permis. Il tourna lentement la tête pour regarde l'homme qui lui avait donné un tel plaisir:

"Le septième ciel..."

Sa voix n'avait été qu'un murmure, mais elle montrait clairement tout le plaisir qu'il avait ressenti.

Cédric n'allait pas dire non tout de même... L'homme venait de lui donner un plaisir incommensurrable et voilà qu'il lui proposait de dormir dans un lit des plus douillets... Il se lova donc contre lui et ferma les yeux alors que la couverture venait recouvrir leurs deux corps. Sa respiration se calma rapidement et au moment où il allait plonger dans les bras de morphé, il murmura:

"Vous êtes étrange tout de même... Vous étiez si dur et froid tout à l'heure, et là vous êtes d'une douceur extrême... Est-ce parce que nous étions en public ?"

Mais le démon dormait déjà et l'esprit de Cédric s'embrouillait. Il passa sa main autour de la taille de son amant et se laissa aller dans ces draps soyeux...

Cédric commenca doucement à emmerger au moment où il senti une main de ses cheveux. Mais avant même qu'il n'ait eu le temps de se rendre compte que quoi que ce soit, il était jeté à bas du lit. Il ouvrit totalement les yeux - et les oreilles malheureusement pour lui - quand le démon s'adressa à lui. Il se passa la main dans les cheveux et répondit avec sincérité:

"Je me le demande bien..."

Puis son esprit finit d'emmerger et il se releva. Il était totalement nu, mais s'en moquait en fait. Il se souvenait parfaitement de la nuit qu'il venait de passer... Mais aussi d'avoir été acheté comme esclave et de s'être soumis à son maître... Après lui avoir fait l'amour et avoir été doux avec lui, voilà que le démon le chassait comme un vaurien. Il décida de ne pas perdre son calme et il dit d'un ton détaché:

"Vous m'avez acheté comme esclave contre mon gré pour votre histoire et voyage. Vous m'avez ammené ici, m'avez nourrit, m'avez ordonné de me laver puis vous m'avez guidé jusqu'au septième ciel... C'est vous qui m'avez dit de rester avec vous pour la nuit."

Il froncait les sourcils, maintenant, se rendant compte qu'il risquait la colère de cet homme pour lui avoir simplement obéïs... Il recula de quelques pas et attendit, inquiet, la réaction de l'homme...

Wolfang regarda son amant d'un soir de la tête au pieds. Il prit un air hautain (pour changer), se recul un peu dans le lit, de facon à être un peu plus loin de Cédric. Bien sur, maintenant qu'il avait emmergé, il se rappellait parfaitement qu'il avait acheté Cédric la veille, mais en revanche, à cause de l'alcool, il ne se souvenait plus du tout de soirée qu'ils avaient passé enssembles.

-Le... Le septième ciel ? avec toi ? Je m'en souviendrais !

Jamais, pas une seule fois, Wolfgang ne s'était rappellé qu'il avait déja été saoul, et pourtant, vu sa senssibilité à l'alcool, il l'avait été un bon paquet de fois... Mais personne n'osait rien lui dire, on lui racontait qu'il s'était sentit mal, et était allé se coucher, ou quelque chose de ce genre...

Il remarqua enfin qu'il était nu, et de plus, il avait le gland légèrement rougit. Un doute l'envahit alors, il se tut soudainement, son regard se perdit dans le vide. Il ne comprenait pas... Il s'était reveillé nu, dans ce lit avec Cédric, qui était dans le même état de nudité que lui, mais pourtant, il ne se souvenait pas de ce qui s'était passé. Non, il ne s'était rien passé, c'était pour lui impossible à concevoir ! Mais quand même...

-Le septième... ciel ? ... Se répéta t-il pour lui même.

Il se reprit alors, lancant un regard mauvais à Cédric, mais on lisait clairement le doute surle visage du jeune noble.

-Tu mens ! Tu n'as aucune preuve de ce que tu avances !

"Je m'en souvriendais" C'est mots blessèrent profondéemment le jeune garçon et il sentit la colère monter en lui. Il avait étéé soumis et obéïssant, il s'était laissé aller, il avait presque accepté son nouveau statu d'esclave... Et voilà à quoi il avait droit. Il fit un pas en arrière vers la salle de bain, éccoeuré.

"Des preuves ? Les griffures sur mon torses ne sont pas suffisantes je suppose... Il faudrait analyser le sperme qui imbibe vos draps ou qui est encore en moi pour vous satisfaire ? La prochaine fois, je vous demanderais de m'écrire "Wolfgang" sur les fesses si vous voulez absoluement une preuve !"

Il avait presque crié puis s'était précipité dans la salle de bain. Il se sentait sale, trahit... tellement mal. Quand il vit son reflet dans le miroir, il voulut détourner les yeux, mais son regard se posa sur son épaule. Il rouvrit la porte et dit:

"A moins qu'un simple comparatif entre la morsure de mon épaule et votre empreinte dentaire vous suffise ?"

Il claqua la porte dérrière lui et se mit sous un jet d'eau glacée. Des larmes commencaient à couler de ses yeux. Il ne savait plus où il en était... Et il avait de nouveau peur... Peur de ce que cet homme allait lui faire.

*Je dois me laver de toute cette saleté, de tout ce sperme... Qu'ai-je fait ? Que suis-je devenu ?*

Il se laissa glisser le long de la parois, perdu...

Le démon se glissa dans la douche près du jeune humain qui releva le regard, se forcant à le durcir. Mais les paroles de l'homme le firent frissonner... De peur et d'envie.

D'envie, évidemment après ce qu'il avait vécu la veille, il ne pouvait pas en être autrement... De peur... parce qu'il savait qu'il ne pourrait pas échapper à ça... et que cette fois ne serait peut etre pas douce. Mais une réalité lui revint à l'esprit et il murmura:

"Je suis votre esclave. Je ne peux que vous obéïr. Mais je doute que vous puissiez me donner autant de plaisir qu'hier soir... Quoi que cela ne dois pas particulièrement vous préoccuper."

Il était agressif dans ses paroles, mais il ne chercha même pas à se débattre. Il avait compris. Ivre, cet homme était capable de tendresse et de douceur... Mais l'esprit clair, il était d'une cruauté sans bornes. Pourtant, Cédric ne pensait plus à fuire... Il se tourna, dos au démon et dit d'une voix neutre:

"Servez vous, Maître."

Bien que le ton de Cédric semblait assuré, son corps entier tremblait de terreur. Sa première fois avait été douce et aggréable... La deuxième serait l'inverse... Et l'homme risquait même de lui dire qu'il n'était rien et qu'il avait menti...

Soumis, comme absent, Cédric se releva comme semblait le vouloir son maître. Celui-si commenca alors à le carresser et... même si ce n'était pas les mêmes gestes, ni la même douceur, le corps du jeune homme reconnu la peau de celui qui lui avait donné tant de plaisir la veille... et se reveilla. Cédric ferma les yeux, honteux d'être autant excité alors que ce qui allait suivre ressemblerait certainement plus à un viol qu'à autre chose... Mais il ne pouvait s'empecher d'en avoir envie.

La remarque cynique du démon le destabilisa encore plus. Il grogna pour exprimer qu'il ne trouvait pas cela amusant, mais ce son fut vite remplacé par un gémissement de plaisir. Il colla son front contre le carrelage froid et sa main aggripa le poignet qui se promennait sur son corps... Il redit néanmoins ses mots de la veille:

"Le corps d'un humain... d'un manant, même, excite-t-il réellement un démon tel que vous ?"

Il ne savait pas vraiment quelle réponse il voulait entendre. Un "non" serait blessant, mais lui permettrait peut être d'éviter la suite tandis qu'un "oui" serait flatteur... mais lui assurait une suite quelque peu violente...

Quand les gestes du démon accélérèrent, Cédric relacha son poignet pour se saisir directement de son bras. Il avait besoin de cet appui stable pour tenir debout. Il se sentait déjà faiblir, ses jambes se dérobaient, son plaisir montait... Ce contact l'éléctrisait totalement.

Mais quand le blond cessa cette torture pour le forcer à se baisser, une lueur de terreur brilla dans les yeux du garçon. Il lacha presque aussitôt le bras de l'homme et au moment où son genou toucha le sol, il tenta de se reculer en bégayant:

"Ce... Je n'ai pas... hier, c'est... ce n'est pas moi... c'est vous qui..."

Ses mains tremblaient, son corps aussi... Pourtant, il posa tout de même ses mains sur le membre tendu et approcha son visage alors qu'il le caressait. Il entrouvrit la bouche et ferma les yeux... Il ne voulait pas avoir conscience de ce qu'il faisait...

Quand il entendit son maître prononcer son nom, Cédric ouvrit les yeux. Il avait encore changé de comportement ? "Y retourner"... Le septième ciel... Ce plaisir immense qu'il avait connu la veille... Il sentait les doigts du démon dans ses cheveux. Ils n'appuyaient pas, ils ne le forcaient pas... mais ils étaient présents, l'encourrageant à "le faire". Il murmura, comme s'il cherchait une accroche:

"Wolfgang..."

Puis il referma ses lèvres sur le gland de son amant, les yeux à nouveau clos. L'une de ses mains prenait appui sur la hanche de son maître, l'autre jouait doucement avec ses bourses, sans meme qu'il s'en rende compte. Sa langue se promena doucement sur la peau fine et tendue, puis il le prit totalement en bouche, entammant un régulier mouvement de va et vient...

"Merci" Ce simple mot sonnait étrangement dans la bouche du démon, mais il faisait ennormément plaisir au jeune homme qui intensifia ses carresses. Il accéléra un peu alors que ses dents effleuraient maladroitement le membre roide. Il faisait ca pour la première fois... Les gémissements du démon le mirent tout de même ne confiance. Il se saisit de la main qui n'était pas dans ses cheveux et la serra entre ses doigts, s'y accrochant comme à une bouée de sauvetage... Il avait besoin de savoir quoi faire...

Sentant qu'il risauait maintenant de se laisser aller, le démon placa un doigt sous le menton de Cédric, pour lui faire signe d'arrêter. Il avait fait cela à contre coeur, mais il voulait au plus vite savoir si oui ou non, il avait eu un rapport avec cet homme la veille. Cela l'obsédait, car il ne comprenait pas puorquoi il ne s'en souviendrait pas...

-Lève toi Cédric...

Quand le jeune homme se fut executé, Wolfgang l'embrassa langoureusement, tout en lui carressant le dos, descendant jusque sur ses fesses, et ses doigts cherchèrent l'entrée de l'intimité de Cédric. Quand cela fut fait, il y plonga deux doigts, doucement, à la recherche de la prostate du jeune garcon, et il commenca un mouvement de ciseau.

Frottant son erretcion contre celle du jeune homme, il laissa s'échaper quelques gémissements, puis, enlevant ses mains des fesses de Cédric, et laissant son sexe suivre le sillon des fesses du jeune homme, il e pénétra, doucement, pour ne pas lui faire de mal.

Le démon finit par arrêter Cédric et le fit se redresser. Le baiser du blond fit frémir le jeune homme dont la respiration était devenue halletante. Ses joues étaient rouges d'excitation et ses yeux embués de désir. Quand les doigts fins entrèrent en lui, il ne retint pas un cri de plaisir et il enroula ses bras autours du cou de son amant tout en lovant sa tête contre son torse. Il soupirait inlassablement répétant le prénom de son amant dans une douce litanie. Quand les doigts agiles le quitèrent, il gémit de frustration... Mais celle-ci fut vite remplacée par du plaisir et les ongles de Cédric s'enfoncèrent dans la peau du démon alors que le sexe de celui-ci le pénétrait. Il se cambra en fermant les yeux et encourragea son maître à ne surtout pas s'arreter...