Manoir Von Elea

Nombre de messages : 172 Age : 36 Date d'inscription : 14/05/2007

Alors qu'un fin rayon de soleil venait carresser le visage pâle du jeune homme, il fit une courte grimace, puis, protegenant ses yeux avec son bras, il finit par les ouvrire, et avec sa main libre, il les frotta doucement. Puis, tirant sur une corde juste a coté de son lit, il s'étirra. Il était dans un lit à baldaquin immense, recouvert de draps de soie, et sa tête reposait sur une dizaine d'oreiller répartis harmonieusement en bout de lit.
Même au réveil, le jeune homme avait une allure parfaite, on aurait pu croire tant par sa coiffure, que par ses vêtements qu'il pouvait sans problème recevoir quelqu'un a déjeuner dans la seconde même. Oui, même pour dormire, Wolfgang avait des gouts de luxe.

Après quelques minutes d'attente, une jeune elfe portant un uniforme blanc et noir entra dans la pièce, ouvrit les rideaux, et vint ensuite au chevet du fils de son maître. Wolfgang se redressa, de facon a être assis dans son lit, il s'étirra à nouveau, dans un soupire de bien être, puis, il replaca derrière son oreille une mèche de ses cheveux blonds, qui était venue se mettre devant son regard bleu. Après cela, il posa son regard vers la femme, celle ci s'inclina, et d'un ton respecteux, elle lui demanda :

-Monsieur a bien dormit ?

Le jeune homme hoche doucement de la tête. Il connaissait cette elfe depuis qu'il était jeune, elle l'avait en partie élevé, aussi, son regard était sur cette personne tout ce qu'il y a de plus doux. Voyant qu'elle restait devant lui inclinée, il lui passa la main sous le menton, pour lui redresser le visage.

-Veille a ce que le déjeuner soit pret quand je descendrais, je vais d'abors passer quelque chose de plus descent. Tu as préparé ma tenue j'espère...

L'elfe fit oui de la tête, avant de s'éloigner assez rapidement, pour ouvrire la porte d'un placard, ou une tenue élégante lavée et repassée était toute prète à l'enploie. S'inclinant a nouveau, elle quitta la pièce, et l'on entendit sont pas raisonner dans le couloir, et accélérer en direction des cuisines.

Le jeune homme sortit alors du lit, puis, s'installant devant le mirroir, il passa plusieurs minutes à s'admirer, et à se coiffer. Il enleva alors l'integralité de ses vêtements, entra dans sa douche, où il ne passa que peu de temps, puis, une serviette autour de la taille, il recommenca a se coiffer, pendant un certain bout de temps.
Quand il fut sec, il enfila des sous vêtements, puis, il passa sa tenue. Il portait des vêtements sofistiqués, qui n'étaient plus vraiment d'époque, mais toute sa famille s'habillait ainsi de toutes facons.

Il descendit ensuite, pour manger, et s'assit au bout d'une immense table. Il était déja 10h, il était le dernier levé, il déjeunerait aussi seul, mais cela ne lui faisait ni chaud ni froid.
On lui apporta des plats cuisinés, bien trop pour une seule personne, surtout lui, qui ne mangeait qu'une miette de pain, et une gorgée de vin par repas, mais il voulait le luxe, toujours le luxe... Ce jour la, il décida, oh miracle, de toucher à la nouriture qu'on lui proposait. C'était la même elfe qui l'avait reveillé qui faisait en ce moment le service, celle avec qui Wolfgang avait été doux... encore moins d'une heure plus tot...

Portant un bout d'omelette à ses levres, il, lacha soudain sa fourchette, outré, et d'un coup de bras, il envoya l'assiette se fracasser sur le sol, répendant son contenu sur un grand tapis. Il se leva ensuite, se dirigeant vers la femme qui était déja terrorisée, et il lui attrapa les mains, pour la forcer à se raprocher de la table.

-Tu appelles ca une omelette ? Elle est crue ! Je n'aime que les omelettes bien cuites, tu m'as entendu ?! Cuite !

Il envoya ensuite l'esclave par terre, qui tomba en poussant un gémissement de douleur. wolfgang lui, replaca une mèche derrière son oreille, et avec un air dégouté, il la dévisagea.

-Tu as réussis a me couper l'apétit...

Se rapellant ensuite qu'il devait ce jour là aller acheter un nouvel esclave, on se demande bien pourquoi (...), il quitta la pièce, furieux, parce que son omelette avait 10secondes de cuisson en moins ce ce qu'il aimait...

==> le marché aux esclaves

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La porte s'ouvre, c'est un vieil hummain qui s'inclinant, l'a fait pour que Wolfgang et son nouveau jouet puissent entrer dans le bâtiement. Le démon était resté silencieux durant le trajet depuis le marché, maintenant, il n'avait envie que d'une chose, grignotter un petit peu. D'ailleurs, il entendait les gargouillements du ventre de son esclave, et il jugea qu'il n'était pas le seul à avoir faim.
Il fit appeller les cuisiniers, pour qu'on lui serve sur le chan son diner. Les domestiques mangeaient en cuisine, mais il n'avait selon la coutume pas le droit de se séparer e son esclave... Il le regarda, et soupira en ruolant des yeux.

*Condamné a manger avec ca... Je suis aujourd'hui tombé bien bas...*

Il tennait toujours Cédric en "laisse", et ce jusqu'a ce qu'ils arrivent dans la salle a manger. Celle ci était immence, et au milieu de la pièce, une table qu'on ne put imaginer plus longue. Wolfgang s'assis en bout de celle ci, et fit signe à Cédric d'approcher. Il lui ôta alors ce qu'il avait autour du cou, puis, il lui dit :

-Je concidère que tes paroles au marché n'étaient que des paroles en l'air... Tu auras donc le droit de souper ce soir... Je ne veux pas être encombré demain, alors prend ce qui te plait... Mais mange proprement... Je sais que c'est dur pour les humains, mais tache de faire un petit effort...

Wolfgang était assis sur un siège en bois sculté. Le dossier et le siège était recouverts de velour rouge, on ne pouvait trouver chaise plus confortable pour manger. Il y en avait une à chaque place, mais le démon fit un signe de main à l'un desserviteurs, qui était apparament habitué a cela.
C'était un très vieile elfe, qui jetant un regard désolé a Cédric au passage, remplaca l'un des luxieux fauteuil aux cotés de Wolfgang, par un simple tabouret en bois.

-Tu ne fais quand même pas partie de la famille... Estime toi heureux de manger à cette table...

Sur ces mots, entrèrent dans la salle quatre personnes, portant des plats qu'ils déposèrent sur la table. Tous étaient plus appétissants les uns que les autres.

Nombre de messages : 183 Age : 36 Date d'inscription : 15/05/2007

Quand ils arrivèrent enfin, Cédric ne put empecher son ventre de gargouiller et, heureusement pour lui, son maitre ne lui en tint pas rigueur. Il le mena même dans une salle à mangé immense. En fait, tout était démesuré, ici. Les portes, les tables, les chaises... même l'age des serviteur !

Cédric ne vit même pas le regard de l'elfe tellement il était concentré à enfouir sa rage. Cet être méprisait les humains et lui parlait d'un ton fort désagréable. Il inclina la tête et répondi:

"Je ferais de mon mieux, maître, mais il est vrai que je n'ai recu une éducation digne de votre table. Puis-je vous demander de quelle race supérieure vous êtes, maître ?"

Son ton était ironique, mais il le cachait habilement. Toutes les races se prenaient pour supérieures aux hommes, que ce soit les elfes, les anges ou les démons, il ce demandait donc sur quel type de taré il était tombé...

Quand l'autre lui fait remarquer qu'il avait de la chance d'être à sa table, l'esprit de Cédric s'enflama à nouveau:

*c'est surtout de manger aux frais de la princesse que je suis heureux !*

C'est alors qu'une quantité astronomique de plats furent déposer sur la table. Les yeux de Cédric s'ouvrirent tels des soucoupes et il ne pensa meme pas à se jetter dessus - heureusement quand on sait avec qui il mangeait - il resta juste figé.

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Alors qu'il était en train de se servire quelques feuilles de salade verte, qui regardait uniquement se couverts jusqu'a ce moment releva soudain la tête, pour dévidager son jeune esclave. Certes, il était facil à berner, mais tout de même, Cédric n'était vraiment, mais alors vraiment pas discret.

Le démon arca un sourcil, puis, reposant le plat au a quelques centimètres de son assiète, il dit d'une voix peux convaincue :

-Certes... Tu te trouves dans le manoir familial de la famille Elea... Nous sommes l'une des familles démone les plus connuesde l'île...

Wolfgang attrapa une bouteille de vieux vin, d'une exellente année, le genre de bouteille qu'on ne sort habituellement que pour les grandes occasions, mais Wolfgang en avait toujours une d'ouverte, pour chaque repas. Il s'en versa un verre, et reposa la bouteille, sans en proposer, cela ne lui aurait pas ressemblé. Il porta ensuite le verre à ses lèvres, respira l'arôme du vin, puis, fit tournoyer doucement le liquide dans le verre, et il finit finalement par en prendre une petite gorgée, avant de reposer le verre sur la table, et d'essuyer avec soin sa bouche en la tapotant tout doucement de sa serviette blanche, en soie brodée.

Un jeune démon, un esclave, qui n'avait apparament pas plus de 14 ans, arriva dans la pièce. Apparament, il était terrorisé à l'idée de faire la moindre erreur, il devait être au service de la famille que depuis quelques jours a peine, mais il avait surement du être informé des habitudes de la famille par ses "collègues".
Il portait un plateau, et sur celui ci, encore on ne sait quels plats, et il se dirigea vers la table. Il posa un à un les trois plats sur la table, et il renversa la bouteille de vin, dont le contenu s'écoula sur la nape. Ce n'était apparament pas un jour ou Wolfgang allait pouvoir être de bonne humeur...
Ce dernier se leva, une grande partie du vin lui avait coulé sur le pantalon. L'esclave, se "cachait" tant qu'il pouvait derrière son plateau, mais Wolfgang l'envoya valser, et il tomba dans un bruit de métalsur le sol. Il attrapa alors le jeune garcon par le cou, se baissant, pour plonger son regard dans celui de son serviteur, puis il lui dit d'une voix à vous glacer le sang :

-Ce genre d'habit en vaut vingt comme toi ! Ving ! On ne ratrapera pas de telles taches de vin sur un tissu aussi délicat et blanc, aussi, débrouille toi pour manger à partir de maintenant. Nous allons retenir le prix des repas que tu aurais du manger, jusqu'a ce que cela rembourse cet habit, entendu ?

Il adressa ce dernier mot au vieile elfe qui se tenait toujours droit comme un I dans un coin de la pièce. Surement une personne chargée de gerer le personnel. Wolfgang envoya l'enfant vers l'arrière, se redressant, et il se tourna à nouveau vers l'elfe.

-Il dormira dehors...

Il se rassit alors à sa table, regardant avec un air de dégout, qui était tellement exagéré qu'il en devenait comique, son pantalon. Il n'aimait que la perfection... Il se redressa, en dodelinant légèrement, puis, il lanca un regard à Cédric, comme pour lui dire "c'est un avertissement".

Le jeune démon lui était sortit de la pièce, avec l'elfe, laissant les deux jeunes personnes seules.

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Quand le démon commenca à se servir, Cédric en fit autant mais, dénigrant la salade, il choisit plutot un plat de viande en sauce avec des pomme de terre... Un truc qui tient bien au ventre, quoi... Il commenca à manger en écoutant vaguement ce que disait l'homme.

*Von Elea ? Ca me dit rien... Encore un noble qui se prend pour un dieu, n'importe quoi ! Enfin, tant que je peux bouffer, je vais pas m'échapper tout de suite.*

Il commenca à manger, plutot voracement, mais en prenant soin tout de meme à ne pas faire d'éclaboussures... Bien que le démon s'attendais surement à ce qu'il en fasse...

Un jeune garcon entra dans le pièce et la scène qui suivit laissa Cédric assez ébaït... Et encore plus décidé à prendre son envol dès qu'il en aurait l'occasion... Il comprit parfaitement que le regard du démon était un avertissement et il baissa le visage vers son assiette... De toute facon, pour le moment, il mangeait, il avait le droit alors il ne s'en priva pas...

Nombre de messages : 172 Age : 36 Date d'inscription : 14/05/2007

Wolfgang mangeait peu, et lentement. Il machait chaque feuille de salade qu'il mettait dans sa bouche pendant plusieurs minutes, avant d'avaler doucement, puis, il essuyait délicatement sa bouche à l'aide de sa serviette, avant de s'attaquer a une nouvelle bouchée (toute une aventure...). Il ne mangea ce soir là que cette petite assiète de salade, mais il mangeait tellement lentement, que quand il eut finit, Cédric avait déja mangé tout le plat de viande, et avait même entamé la purée de pommes de terre.
Le démon lanca alors un regard légèrement dégouté vers le jeune garcon, puis, il s'adoucit peu à peu, et finalement, il décida d'attendre qu'il ai finit de manger, pour lui ordonner de quitter la table.

Pour patienter, Wolfgang plia sa serviette, la posa délicatement à coté de son assiète, puis, il se resservit en vin. Il était très facilement ivre, mais cela n'allait pas être deux verres de vin qui allait avoir raison de lui tout de même, cependant, il était casi certain que tot ou tard, si Cédric respectait le "lien" qu'il avait avec wolfgang en tant qu'eslcave, il le verrait ivre. Le démon ne savait même pas qu'il avait été rien qu'une seule fois ivre, les gens par respect n'osaient pas lui dire, et il perdait à chaque fois la mémoire de ce qui s'était passé pendant cette periode ou l'alcool s'était emparé se son esprit, et de son corps.

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Cédric finit le plat de viande s'en même s'en rendre compte et il attaqua aussitôt le plat de purée. C'était de la purée faite maison, un vrai délice. Quand Cédric allait se servir pour la quatrième fois, il se rendi compte que son maître ne mangait plus et que son assiète était vide. Il hésita à se resservir... Il venait de manger comme quatre et ne continuait pas par faim mais par peur du manque. Il s'arreta donc, le bras tendu sur la cuiellere de service et demanda, étonné lui même de cet acte:

"Vous en voulez ?"

Devant la grimace de dégout du démon, Cédric relacha la cuillere et dit alors d'un ton qui indiquait qu'il avait fini:

"C'était excellent, merci pour le repas."

Mais il regardait, à la dérobée, son maître qui buvait son vin...

*Il est quand meme bizarre ce gars, il montre ouvertement qu'il méprise tout ce qui n'est pas lui et il attend que je finisse de manger...*

Cédric ne se leva pas de la table avant que son maître ne le fasse, il attendit donc patiemment tout en jettant un regard plus que triste sur la quantité de nourriture qui ne serait pas mangée...

*Quel gachis quand même ! Quand je pense que j'ai eu du mal à me trouver un quignon de pain pendant plusieurs jours d'affilés et qu'il en gache autant... Finalement, au lieu de chercher en ville, j'aurais du faire les poubelles de cet endroit...*

Nombre de messages : 172 Age : 36 Date d'inscription : 14/05/2007

Le démon finit son verre de vin, puis, il le reposa sur la table. Il recula alors doucement son siège, qui ne fit pas le moindre son, puis, il se leva, jetant un regard à son pantalon, un regard haineux, puis, il serra le poing, et se dirigea vers la porte. Il savait que son esclave le suivrait, du moins, il avait plutot interet, c'était la règle.

Oui, selon la règle, l'esclave et son maître ne devaient pas se quitter. Mais au fil des années, cette règle s'était assouplie, mais chez les Von Elea, les règles étaient celle du tout début de cette tradition, car c'était pout cette famille une queston d'honneur d'éxécuter tous ces rythes, dans les règles de l'art. Aussi, Wolfgang devrait dormire dans la même pièce que son nouvel esclave, emanger enssemble, marcher enssembles etc...

-Comme nous ne pouvons même pas nous séparer d'une pièce le temps d'une nuit, je t'épargne le grenier pour cette fois, encore une fois, esime toi heureux de ce qui va t'arriver, sois en même honnoré...

Ils quittèrent la pièce, et marchèrent dans les couloirs, pendant un certain temps, le manoir était immense. Ils arrivèrent ensuite devant une porte en bois d'ében, sculptée. Wolfgang la poussa, et il entra ensuite dans la pièce. C'était en fait sa chambre, elle était immense. Elle était comme celles que l'on imagine lorsqu'on nous raconte un compte de fée. Il y avait de riches tapisseries partout, des rideaux en velour bleu, c'était d'ailleur la couleur dominante dans la chambre.
Au fond de cette pièce immense, tronnait le lit du démon, immense, et un peu partout, des cannapés, recouverts de coussins assortis au tissus.

Tout en jetant son manteau sur l'un d'eux, Wolfgang regarda autour de lui. Il ne voulait bien entendu pas de Cédric dans son lit, n'allons pas pousser le bouchon trop loin, mais il n'en voulait pas non plus sur ses précieux fauteuils et canappés... Par terre ? Pourquoi pas...

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*Honnoré ? Il se fout de ma gueule cet enfoiré ? Honnoré de devoir rester près de lui ? Bah je m'en passerais bien !*

Après avoir mangé, toute la verve du garçon était revenue. Il n'avait plus sa "laisse" et donc pouvait s'échapper à n'importe quel moment, il lui suffisait d'une fenetre ouverte et c'était bon.

Ils marchèrent dans les multiples couloirs et Cédric s'assura de ne pas perdre son maître de vue, il avait pas vraiment envie de se perdre dans ce labyrinthe !

Quand la porte de la chambre s'ouvrit, il eut un hocquet de surprise. Bon, finalement il allait peut etre passer le nuit au chaud avant d'envisager de partir... Les tapis au sol étaient si épais que ca ammortissait ses pas. Le lit était immense ! Cédric se rendit compte que ce lit faisait la taille de la petite cave dans laquel il s'efforcait de vivre...

Il avanca derrière son maître. Il marchait pied nus, comme toujours et c'était bien la première fois de sa vie qu'il sentait autant de douceur sous ses plantes... Cet endroit était irréel pour le jeune homme.

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Wolfgang n'avait pas vraiment conciance que pour beaucoup, sa facon de vivre était plus que luxueuse, elle était royale. Après tout, il n'y avait qu'a voir sa chambre, elle était plus grande à elle seule que la plus part des appartement qu'avait les gens de cette île.

Le démon disparu dans ce qui semblait être un placard, mais qui était en fait une véritable garde robe, avec un endroit spécialement consu pour se changer, puis, quand il en sortit, il portait sur lui un pantalon noir, et propre. L'autre était trop fragil pour être assez nettoyé pour que la tache de vin s'enlève complètement, et puis comme il était blanc...

-Je te laisse le choix... Tu peux dormire sur un cannapé, ou tu peux dormire sur le sol. Tu prend moins de risque en choisissant la deuxième option , car si je retrouve la moindre trace de bave, ou de je ne sais pas quoi sur mes fauteuils...

Le démon s'assit sur un fauteuil, et prit un livre qui se trouvait sur une table basse juste à coté. Puis, au bout d'un moment, il rennifla, puis, désigna une porte avec un air de dégout.

-Et vas te laver, tu empèstes !

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Alors que son maître était allé se changer, Cédric en profita pour "visiter" la chambre. Il faut dire qu'elle était vraiment grande. Il n'osa même pas s'assoir sur les canapés tellement c'était luxueux. Quand son maître revint, changé, et lui proposa de choisir entre le canapé et le sol, il ne répondit pas mais savait déjà qu'il choisirait le sol... De toutes facons, son maître n'attendit pas la réponse et l'envoya se laver.

Une bonne douche chaude ! Voilà encore quelque chose que Cédric n'avait pas connu depuis des lustres. Il s'empressa d'obéïr. Il se dirigea donc vers l'immense salle de bains et se rendi compte qu'il pouvait aussi prendre un bain... L'eau était déjà prète, mais peut etre (surement meme) l'était elle pour son maître et pas pour lui. De toutes facon, il ne se sentait pas de prendre un bain. Une douche serait très bien. Délaissant la grande baignoire, il ôta ses vêtements et alla dans le bac de douche. Il alluma l'eau chaude et la laissa couler sur son corps. C'était tellement agréable. Il ferma les yeux laissant l'eau glisser dans ses cheveux et sur son corps.

Il ne pouvait pas dire si son maître avait raison de dire qu'il puait mais il était évident qu'il avait besoin de se laver: l'eau à ses pieds était déjà noire. Il attrapa un savon - se doutant qu'il prennait celui de son maître, mais il n'y en avait pas d'autre et on lui avait ordonné de se laver - et le passa sur son corps après l'avoir fait mousser. Il mit aussi du shampooing sur ses cheveux. Il se rendit alors compte qu'il était en train d'utiliser des produits de luxe... Il resta encore quelques minutes sous l'eau en se rincant totalement puis il sorti du bac de douche. Il trouva une serviette - certainement propre, son maître devait en prendre une neuve à chaque lavage - et entreprit de se secher.

Ceci fait, il reposa les yeux sur ses vêtements sales et - il faut bien l'avouer - puants... Il hésita un instant puis ceint la serviette à sa taille avant de retourner dans la chambre. Il passa juste sa tête et demanda:

"Monsieur, souhaitez vous que je remette mes vêtements ? Ce sont eux, maintenant, qui dégagent une odeur nauséabonde."

Son maître allait il lui offrir des vêtements ? Cédric se disait que pour le moment, tant qu'il serait traîté comme jamais il ne l'avait été et pouvait rester dans le luxe, il resterait... Quand le voyage débuterait, selon l'attitude de son maître, il verait bien...

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Alors que son esclave était parti se doucher, Wolfgang avait commencé à lire l'ouvrage qu'il avait en main. Puis, il avait prit la b outeille de wisky se trouvant a coté des livres, sur la table basse, avec les verres tout préparés bien sur, et il s'en était servit un verre,généreusement, ne se rendant pas compte de se qui allait se passer s'il buvait ce verre en entier, surtout vu la mince quantité d'eau qu'il avait mit...

Aussi, quand son jeune esclave passa la tête par la porte, c'est avec un sourire idiot que Wolfgang releva la tête, un verre vide à la main, et il le regarda, il avait l'air complètement... ivre, et il l'était...

Il leva sa main libre, et en la secouant malhadroitement, il émit un petit "coucouuuuuu", sur un ton qui laissait voir soit qu'il avait bu la réserve d'une taverne irlandaise, soit qu'il était extremement senssible à l'alcool. Dans son cas, c'était la deuxième option... En tout cas, une chose était sur, il était saoul, totalement saoul, et cela, en sulement deux verres de wisky, plus bien sur les deux verres de vin qu'il avait prit précédament au diner, mais ca... On ne peux pas vraiment dire que ca puisse vraiment y contribuer.

Le démon posa son verre sur la table, tout en riant, enfin... En gloussant comme un didon, puis, avec difficulté, il se leva, et tituba jusqu'a la porte de la salle de bain, tout en ouvrant sa chemise blanche, laissant apparaitre son torse. Ses gestes étaient maladroits, et peu précis, d'ailleurs, il arracha au passage, les boutons qui lui résistaient un peu trop. Il fixait le jeune homme en face de lui, d'un regard provocateur. Quand il était ivre, le côté pervers en lui se reveillait immédiatement, et il avait une idée bien précise en tête. Son pas était lent, il marchait comme un félin, se dirrigeant vers sa proit. Sauf que dans notre cas, le félin était un patétique aristo complètement cramé, et la proit, un esclave à demi nu.

Sans lui demander son avis bien sur, il entra dans la salle de bain, attrapa sensuellement les poignets de son esclave, et le poussa doucement contre le mur, en lui plaquant les bras contre celui ci. Comme plus rien ne la retenait, la serviette qu'avait Cédrci tomba sur le sol, et Wolfgang, ne se souciant pas de l'avis de son partenaire, prit possetion de ses lèvres, et l'embrassa à pleine bouche. Mine de rien, il avait de la force, ce démon...

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Quand il vit le regard du démon, Cédric faillit rire, il avait l'air totalement fait... Comme s'il allait s'écrouller à même le sol. Il le regarda avancé vers lui avec un sourire moqueur que son maître ne remarqua même pas... Mais il le perdit dès qu'il appercu le regard que l'homme posait sur lui... Ca sentait mauvais... Très mauvais. Cédric fit un pas en arrière mais le démon le suivit dans la salle de bain et l'immobilisa totalement.

Un éclair de terreur passa sur le visage de Cédric. Il ne remarqua pas que la serviette était tombée, tout ce qui occupait son esprit, c'est qu'il ne pouvait pas bouger et que l'autre approchait dangeureusement. Il n'arrivait pas à prononcer le moindre mot et quand il senti les lèvres du démon sur les siennes, il tenta de reculer son visage mais sa tête cogna contre le mur. Cédric tenta tant bien que mal de se débattre, mais la poigne du démon était trop forte ou lui trop frêle et ses cris étaient étouffés par ces lèvres, par cette langue qui commencait à chercher à s'immiscer dans sa bouche.

Il tenta de tourner la tête en grognant, mais rien n'y faisait. Il cherchait à se débattre, à crier... Impossible ! Alors il fit la seule chose qui lui passait par la tête: il mordit la lèvre du démon.

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Cédric n'avait pas mordu lalèvre de Wolfgang dans cette intention, mais cela fit monter en lui l'exitation. De toutes facon... vu l'état dans le quel il était à ce moment précis... Bref, il ne s'en pleint pas. Cela ne fit que renforcer la fougue qu'il avait dans ses baises qui se faisaient maintenant de plus en plus langoureux.

Wolfgang était décoiffé, sa chemise était ouverte, et il fixait Cédric d'un oeil pervers. Les poignets dujeune esclave étaient toujours aussi fermement tenus par son maître, et ce dernier vint faire frotter son errection contre le bassin du jeune homme. C'était simple, il le voulait, et il l'aurait, de gré, ou de force. De toute facons, à par ces petits mordillages, il ne pouvait pas faire grand chose.
Le corps du démon de celui de son esclave se touchaient, et Wolfgang se serrait de plus en plus contre cédric, ondulant du bassin. Il voulait un partenair consentant, mais il saurait aussi faire sans... Pour lui, surtout dans cet état, forcer quelqu'un ne le dérangeait pas.

Il forca les mains du jeune homme a se poser sur ses fesses, puis, il lui lacha enfin les poignets, pour faire remonter sensuellement les mains le long de son corps, dessinant sa silhouette, passant dans son cou, sur ses joues, ses tempes, puis, dans ses cheveux, de la pointe aux racines.
Wolfgang approcha alors sa bouche de l'oreille de son jeune esclave, et il lui souffla :

-Tu es à moi... Tu dois faire tout ce que je te dis... Et je te veux toi, dans le lit, consentant... Et non toi, dans cette pièce, froide, et rétissant...

Il attrapa le visage de cédric, le raprocha assez violament du siens, et il l'embrassa à nouveau. Ensuite, une main derrière le crane, l'autre lui carressant la joue, il lui murmura d'un air provocateur :

-Concidère ca comme un atout... Je ne suis pas du genre a prendre mon pied, et a laisser mon partenaire sans plaisir... S'il ne me pose pas de problème... Laisse toi faire Cédric...

Le mains de wolfgang vinrent doucement carrasser les fesses de Cédric, et ses lèvres, descendire pour arriver jusqu'a ses tétons, qu'il taquina. Une des mains du démon commenca alors à flatter le sexe de Cédric.

-Laisse toi faire répéta le démon...

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Rien n'y faisait, le démon ne lachait pas prise. Au contraire, il se resserra encore plus contre le garçon... Quand son maître le forca à poser ses mains sur ses fesses, il resta une seconde sans réactions puis il plaqua ses mains comme il pouvait sur son torse pour essayer de le repousser. Il grognait toujours, mais les lèvres du démon ne l'avaient pas encore lachés...

Et avant qu'elle le face, les mains du blond s'étaient promenées sur son corps lui provoquant des frissons. Il sentait parfaitement que son corps cedait sous le savoir faire de l'homme, mais il ne voulait pas et il continuait à résister. Quand, enfin, le baiser fut rompu, il prit avidement une bouffée d'air et se mit à crier en se débattant de plus belle:

"Lachez-moi ! Laissez-moi ! Arrêtez !"

Les paroles du démon le laissairent surpris et lui coupèrent la voix. Il n'eut pas le temps de se ressaisir que son maître s'était de nouveau saisi de ses lèvres. Les mots de l'homme étaient clairs. Même s'il n'était pas consentant ça se passerait... Cédric ne le voulait pas et dès qu'il peut de nouveau parler, il redemanda à son maître de le laisser, mais son "Arrêtez" était devenu plus faible, plus supliant. Il avait peur.

Il avait connu beaucoup de choses dans la rue, le sexe et la violence en faisaient parti, mais il avait toujours réussi à ne pas se faire violer car quand les mots et sa résistance ne suffisaient plus, il se transformait... Mais là, il n'avait nul part ou aller...

Pourtant, le démon était plutot doux malgré sa résistance - qui diminuait de plus en plus - et Cédric ne pouvait empecher son corps de frissonner. Quand l'homme lui demanda pour la première fois de se laisser faire, d'une voix faible, appeurée et de plus en plus résignée, il répondi:

"Arrêtez, s'il vous plaît, ne faites pas ça... Je ne suis qu'un humain, comment puis-je interresser un démon comme vous ? Vous faites erreur, laissez moi, je vous en prie..."

Sa voix était faible et il sentait les larmes monter en lui... Il allait devoir se laisser faire, il commencait à s'en rendre compte et quand les lèvres du démon se posèrent sur ses têtons, il ne put retenir un gémissement qui lui arracha une larme de terreur: il allait devoir ceder, c'était obligé, il n'avait pas d'autre solution car il ne pouvait pas éviter ce qui allait suivre et ceder était le seul moyen pour que ca ne soit pas trop douloureux... Mais c'était la première fois qu'il allait coucher avec un homme, se faire prendre par un homme... et il avait peur, peur de la douleur, peur de la violence, peur de tout ce que cet homme pourrait lui faire après qu'il lui ait cédé ça...

Mais quand la main du démon commenca à carresser son sexe, les frissons de plaisir qui le prirent devinrent incontrolables. Il se cambra, forcant involontairement ce contact et gémit longuement... Il murmura alors:

"S'il vous plaît... s'il vous plaît... donnez moi deux minutes... juste que... s'il vous plaît... je... je vous rejoins."

Les larmes menacaient de couler sur son visage. Des larmes de résignation qu'il voulait cacher au démon. Acceper ce qu'il venait d'accepter, c'était se renier un peu, c'était détruire sa propre personnalité... Et il lui fallait laisser cette douleur s'échapper de son corps avant de pouvoir se plier aux désirs de son maître... car c'était ça, il venait de s'en rendre totalement compte: il était devenu un esclave.

[je t'avais prévenu qu'il voullait pas le faire... tu l'as brisé mais tu auras un "topic douteux" ^^]

Nombre de messages : 172 Age : 36 Date d'inscription : 14/05/2007

Wolfgang n'écoutait pas les "arretez" que lui répétait son esclave. Il continuait, effleurant du bout des doigts le sexe de Cédric. De temps en temps, ses carresses étaient plus marquées, mais bien vite, sa main s'éloignait. Il voulait que Cédric, lui aussi, ressente du désir, ce désir de plaisir que lui seul pouvait lui donner en ce moment... Un sourire s'affiche sur les lèvres du démon, aux dernières paroles du jeune homme.

Il remonta son visage, et encore une fois, il embrassa le jeune humain, bien qu'il voyait bien que cela ne lui plaisait pas... Ses carresses s'arretèrent, il éloigna doucement sa main, et son corps entier. Un regard provocateur, toujours le même, fixait Cédric. Les yeux dans les yeux. On pouvait lire la peur de cédric dans les siens, et dans ceux de Wolfgang, on pouvait lire toute la perversité qu'il y avait en lui à ce moment là.

Wolgang recula d'un pas, puis, il dit sur un ton sensuel :

-D'accord... Je t'attendrai... Fais attention, je suis impatient...

Il était trop ivre pour remarquer le véritable état de son esclave. Pour lui, enfin... Pour le lui de quand il avait bu, personne ne savait lui résister, il n'avait besoin de forcer personne... Tout le monde le désirait. Bien sur, c'était faux, mais quand on a bu... Le sens des réalités... Même quand il était sobre, il se sentait parfait, mais pas à ce point.

Il sortit à reculon, doucement, de la pièce.Il referma la porte, et s'en alla reprendre un verre de Wisky, comme s'il n'avait pas déja assez bu... Il resta debout, planté au milieu de la pièce, à savourer cet alcool de qualité.

Nombre de messages : 183 Age : 36 Date d'inscription : 15/05/2007

Quand son maître quitta la pièce, Cédric se laissa glisser au sol... en larmes. Les gouttes sallées coullaient le long de ses joues, jusqu'à sa machoire et tombait sur son torse tremblant. Il ne fit pas un bruit, ne dit pas un mot. Il ferma les yeux. Il était un esclave... La chose que quelqu'un d'autre, le jouet de ce démon, il n'avait plus droit d'exister par lui même... Et il se rendait aussi compte qu'il n'était pas certain de vouloir quitter tout ca... Peut être qu'il n'était plus libre, peut être qu'il n'était même plus un homme... Mais il pouvait manger à sa faim, il pouvait se laver, il pouvait dormir dans un endroit chaud... Il allait laisser cet homme le prendre, faire de lui ce qu'il voulait, il le suivrait, lui obéïrait... et mourrait s'il le fallait. Il n'était déjà plus capable de quitter tout ce fast, tout ce luxe... Et puis son maître semblait pouvoir être doux... Il fallait juste qu'il le laisse faire, qu'il se laisse aller... Ce n'était pas si difficile...

Les larmes cessèrent de couler, son regard avait changé, il n'était plus rebelle, il était résigné, soumis... Il fit couler un peu d'eau froide de l'un des ribinets dorés... heu... en or, certainement en fait... et la passa sur son visage. Il pendi la serviette à sa place et, nu, sortit de la salle de bains pour entrer dans la pièce. Il fit quelques pas et, indécis, s'arrêta.

"Je suis là, Maître."

"Maître"... dire se simple mot lui pinca le coeur, il se reniait lui même... Mais il ne voulait plus de la rue, de la peur, de la faim, du froid... Non, il ne les voulait plus tous autant qu'il étaient... Alors il se montrerait très obéïssant. Son regard était triste, il ne pouvait pas le cacher, mais un sourire serein éclairait son visage...

Nombre de messages : 172 Age : 36 Date d'inscription : 14/05/2007

Wolfgang était de dos, quand Cédric entra dans la pièce. Il tourna la tête, et un sourire s'afficha alors sur son visage. Il posa son verre sur la table basse, et finit d'ouvrire sa chemise, qu'il n'enleva pas.

Il se contenta de se mettre juste à coté de son lit, puis, il se laissa tomber sur celui ci. Il étaitsur le dos, et regardait le sommet de son lit à baldaquin, en silence. Il finit par se passer la main dans les cheveux, pour ensuite, poser enfin à nouveau son regard sur le jeune homme, qui se tenait debout près de la porte de la salle de bain.

Wolfgang se redressa, un sourire en coin aux lèvres, puis, il lui dit

-Viens donc t"occuper de moi...

En fait, l'alcool lui tournait la tête, c'était pourquoi il était venu s'allonger sur ce lit, il sentait que sinon, il allait tomber sur le sol. Et il ne se sentait plus assez exité pour que son corps réagisse seul, comme il l'avat dit, il était impatient, Cédric l'avait trop fait attendre à son goût.

Nombre de messages : 183 Age : 36 Date d'inscription : 15/05/2007

Les mots du demon figèrent un moment Cédric puis, se ressaisisant, il avanca lentement vers le lit et grimpa dessus. Il sentait que son coeur s'affollait, mais il ne voulait pas l'écouter... C'était trop tard de toute facon. Il s'assit sur ses talons entre les jambes du blond et le regarda avant de se décider à poser une main sur sa peau... Il laissa ses doigts remonter du genoux sur la cuisse, passer sur l'aisne puis remonter sur les abdominaux jusqu'aux pectoraux. Il frola un teton et le pinca doucement. En avancant dans son exploration, il s'était penché sur le corps de l'homme et il posa son autre main sur le lit pour assurer son appui. Elle frola la hanche du démon.

Sans vraiment savoir ce qu'il faisait, toujours hésitant, Cédric se pencha sur le torse de l'homme et posa ses lèvres sur le têton que ses doigts avaient, jusqu'alors, ignoré. Il commenca à passer sa langue dessus, à le mordiller... Il ne savait pas ce qu'il faisait, mais il le faisait...

Nombre de messages : 172 Age : 36 Date d'inscription : 14/05/2007

Wolfgang se laissait faire, mais il avait espéré que son partenaire ne serait pas si... "sage". Lui, était plutot adepte des relations torides, ou tout commencait très rapidement. Enfin lui... Son "lui" saoulé.

Il n'eut qu'a jeter un petit coup d'oeil, pour voir que le sexe de Cédric n'était pas tendu. Aussi, il prit la tête de son amant entre ses mains, et la recula de son torse, pour ensuite le faire basculer, ils roulèrent, et Wolfgang se retrouva au dessus de son esclave. Hors de question de faire quoi que ce soit, avec une poupée obéissante, qui n'était pas exitée.

Il embrassa Cédric avec fougue, puis, ses lèvres a quelques centièmètres seulement de celle de son amant, il lui souffla, tout en commencant a lui carressser sensuellement son membre endormis :

-Je n'aime pas avoir un partanaire froid comme tu l'es en ce moment... C'est la première fois que tu touches un homme ?

Sans attendre sa réponse, les lèvres du démon glissèrent sur le torse de Cédric. Il alternait le jeu de ses dents et de sa langue. Il descendait tout doucement. Il s'attarda sur le nombril, puis, il leva la tête, continuant toujours de carresser le membre du jeune humain.

-Peut etre que si je descens encore un peu, tu seras plus motivé...

Nombre de messages : 183 Age : 36 Date d'inscription : 15/05/2007

Alors que Cédric était consciencieusement en train de s'occuper des tétons du démon, il senti les mains de celui si se poser sur son visage. La peur le domina une demi seconde puis il se laissa faire. L'homme le fit basculer sur le lit il passa au dessus de lui. Les lèvres du démon s'emparèrent des siennes avec voracité et il ferma les yeux, s'abandonnant au baiser. Quand celui-ci cessa, il resta paupières closes et entendi les mots de son maître alors qu'il sentait sa main sur son membre. A peine la question prononcée que les lèvres du blond se posaient sur son torse. Il avait ouvert les yeux mais regardait dans le vide, il sentait les doigts de l'homme sur son sexe et des frissons le parcourraient. Il se "reveillait" petit à petit.

Cédric se dit qu'il devait répondre à la question... Mais il ne savait pas comment faire. Ce n'était certes pas la première fois qu'il touchait un homme, mais c'était la première fois que ca se passait dans ces conditions... Qu'il allait être prit. Quand son maître se dirigea vers son nombril, le jeune garçon ouvrit la bouche pour répondre. La langue s'immisca dans ce petit orifice et son corps se cambra inscintivement alors que son membre se dressait lentement.

"Ce n'est pas tout à fait la première fois mais... je n'ai jamais été... enfin..."

Il fut incapable de terminer sa phrase car les doigts de son maître étaient trop expériementés. Il rejeta sa tete en arrière et gémis doucement. Puis quand le démon lui proposa d'explorer... plus bas, il sursauta presque. Ca ne lui semblait pas possible. Il regarda le visage de l'homme et dit, gêné, d'une voix faible:

"Ce n'est... pas comme ça que ca doit être... non ?"

Ce qu'il voulait dire, c'est que c'était à l'esclave de satisfaire son maître et il n'imaginait pas vraiment cet homme en train de le sucer... même si cette perspective ne lui en était pas désagréable. Il ne savait pas trop quoi faire ni dire...

Nombre de messages : 172 Age : 36 Date d'inscription : 14/05/2007

Enfin, son partenaire commencait a ne plus être aussi de marbre face à ce que faisait Wolfgang. Ceci eut pour effet d'afficher sur le visage du démon, un petit sourire pervers et satisfait.

Le jeune démon ne répondit rien à ce qu'avait dit son esclave, il se contenta de descendre sa tête de plus en plus, passant sur la peau de son amant avec sa langue. Il s'arrteta juste au dessus des parties génitale de Cédric, et il embrassa, et mordilla ma peau du jeune homme, commencant à attenuer ses carresses avec ses mains.

Quand celles ci arrêtèrent de toucher le membre maintenant tendu du jeune humain, elles furent remplacées par le souffle de Wolfgang, qui ne tarda pas à prendre le sexe de cédric à pleine bouche, d'un coup. La langue du maître commenca alors à carresser le gland de son esclave, tandis que ses lèvres faisaient de petits mouvements de vas et vient. Il s'arrêta alors, et releva la tête d'un air narquois, avant de dire :

-Si pourquoi... Ca te dérange ?

Si il n'avait pas été ivre... Il ne serait jamais comporté ainsi... Il aurait surement été violent avec Cédric, et ne se serait pas soucié de savoir si oui ou non son esclave prenait lui aussi du plaisir.

Nombre de messages : 183 Age : 36 Date d'inscription : 15/05/2007

Quand les lèvres de son maître entourrèrent son membre, Cédric se cambra en criant. Il ferma les yeux, s'abandonnant totalement. Il avait décidé qu'il n'était plus temps de réflechir... Qu'il ferait ça plus tard... après. Au moment où le démon le relacha, il poussa un soupire frustré et gémis de plus belle à la question de l'homme:

"Non... ca ne me dérange pas... je vous en prie... ne vous arretez pas..."

Son bassin ondulait malgré lui, réclamant encore plus, sa voix était basses, transformée par le désir, halletante. Il avait ouvert les yeux à demi pour les fixer sur le blond et ses doigts avaient pris possession des draps, les serant le plus possible.

Nombre de messages : 172 Age : 36 Date d'inscription : 14/05/2007

Un sourire satisfait se dessina sur le visage du démon. Mais il ne reprit pas tout de suite ce qu'il avait entreprit. Son souffle carressa le membre de Cédric, tandis qu'il finissait de se débarasser de sa chemise. Puisque Cédric n'avait rien entreprit, il devait enlever ses vêtements lui même. Cela ne lui ferait que plus de temps a attendre avant d'a nouveau sentir les lèvres de son maître sur son sexe pensa Wolfgang.

Alors qu'il se débarassait maintenant de son pantalon, et de son boxer (oui, lui AUSSI ! u_u...), la langue du démon passa sensuellement à l'interieur d'une des cuisses de Cédric. Maintenant qu'il était nu, Wolfgang effleura de ses lèvres le sexe de son amant, puis, il l'embrassa doucement, avant d'enfin le reprendre en bouche, et il recommenca d'agréables mouvements de vas et vients, tandis que sa langue passait sur le gland rougis de Cédric. A présent, il n'était plus le seul a resentir du désir...

Nombre de messages : 183 Age : 36 Date d'inscription : 15/05/2007

Cédric regardait le blond, attendant qu'il reprenne ses caresses... ce qu'il ne fit pas. Il commenca à se déshabiller avec lenteur. Cédric n'arrêta pas pour autant ses mouvements de hanche, mais il ne s'en rendait pas vraiment compte. Il regardait son maître, attendant, impatient... et se rendant compte qu'il était vraiment supperbe.

Cédric eut un sursaut au moment où la langue du noble se posèrent sur sa cuisse. Sa tête retomba sur le coussin, et ses yeux se refermèrent. Des gémissements accompagnèrent les gestes du démon et quand il sentit l'étau chaud de ses lèvres autour de lui, il ne put retenir un cri de plaisir. Après quelques minutes de cette torture, les gémissements de Cédric emplissaient la pièce sans discontinuer. Il lacha les draps et glissa ses mains dans les cheveux doux et soyeux de son maître.

Il sentait que le plaisir montait trop vite... Il avait peur de se laisser aller, il ne voulait pas facher l'homme qui lui donnait autant de plaisir... Alors il tenta, entre deux gémissement de le faire arrêter:

"Je... je vais... je ne peux plus... tenir... arrêtez... je vous en prie... stop... s'il vous plait... je vais..."

La suite fut perdue dans un cri de jouissance alors que le corps du garçon se cambrait totalement décolant ses fesses du matelas. Ses mains avaient quelques secondes avant, relaché la tête de l'homme pour se crisper sur les draps de soie...

Il se laissa alors retomber sur le lit, relachant toute pression de son corps. Il avait toujours les yeux fermés, ses muscles se détendaient lentement, sa respiration ralentissait peu à peu, et il murmura:

"Je suis désolé... je... j'ai... trop vite..."

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