Retour chez kaori

Nombre de messages : 94 Age : 114 Date d'inscription : 22/09/2006

Le voyage entre le marché et la maison s'etait sans un echange.

La maison de Kaori n'etait pas visible de l'exterieur il fallait passait apr l'apicerie pour voir la somptueuse demeure qu'il avait herité de ses parents. Avec son parc et ses fontaines.

Il s'arrêta devant la porte de l'epicerie. L'épicrie etait immense, et dans les vitrines etaient exposés que des marchandises de luxe. Mais rien ne laissait supposer le joyaux de villa qui se cachait derrière celle ci.

-Ne vous inquietez pas la maison est juste derrière. C'est juste l'endroit ou je travaille.

Il ouvrit la porte. Ils entrerent et Kaori ferma la porte.
Il traversa l'epicerie qui etait faiblement eclairé par les lumière venant des fenêtres , mais les stores baissés laissaient passer quelques rayons de lumière.

Puis ils arriverent dans le jardin.

- Vous pouvez vous considerez chez vous. Je vais vous montrez votre chambre.

Ils avaient fait le chemin sans s'adresser une parole, se que regretta un peu la jeune fille.

Ils arrivèrent devant une magnifique épicerie, dont les rayons abondaient de marchandises précieuses. La jeune fille posa ses mains sur la vitrine, contemplant les merveilleux objets. Des perles, des étoffes, ainsi que pleins d'objets hétéroclytes...

Son Maître la rappela à l'ordre en lui précisant que sa maison se trouvait derrière.

Elle se décolla de la vitre et sourit à Kaori. Elle le suivit alors, comme l'aurait fait un petit chien.

Ils passèrent dans un luxurieux jardin, où les oiseaux chantaient avec passion.

Tous ces sons, toutes ces merveilles l'éblouissaient. Elle avait l'impression d'être une princesse échappée d'un donjon.

Il l'amena à sa chambre. C'était une chambre toute simple, mais immense. Même dans sa cabane de pêcheur, elle n'avait eu cela.

Elle se sentit alors très gênée... D'une voix étrange, Sachiko demanda alors:

"Pourquoi m'avez vous choisi? Je ne comprends pas pourquoi vous m'avez choisi..."

Ses yeux verts s'assombrirent lègérement...

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- pourquoi pas vous .. pourquoi je vous aurez pas choisi ? dites moi ? Ca vous derange ?

Il s'arrêta de parler et la regarda droit dans ses magnifiques yeux verts.

- Je vous ai choisit pour plusieur raison, mais ne mettez pas un ordre dans ce que je vais vous dire car il y'en a pas. Je pense que vous pourrez me suivre là ou je dois aller. Puis je ne supportais commetn vous traiter votre esclavagiste.

De plus j'ai aperçu un petit peu votre caractère et il me plait bien.
Et enfin vous avez un sourire et des yeux tellemnts charmants que je me suis dit que ce sourire me rendra peut être le mien.

D'autres questions ? Ne vous inquietez pas vous pourrez en poser autant que vous voulez apres .. Mais je pense que vous devez avoir faim, je vous ai preparé le tout à la salle à manger principal et manger ce que vous voulez. Il y'a aussi la salle de bain, prenez la grande salle de bain. Il y'a un bain bouillonant c'est fort agréable. Et enfin faites comme chez vous...

Puisque vous etes chez vous.....

Sachiko baissa la tête, comme une enfant coupable prise en pleine faute... Elle se voulait d'avoir posé cette question, car les arguments que venaient de lui exposer Kaori, étaient sans réponse.

Ses longs cheveux tombèrent sur ses yeux verts. Elle aurait voulu disparaître ne serait ce qu'un instant. Ce regard qu'il posait sur elle lui était quasi insupportable. Elle n'avait jamais été observé ainsi.

Elle demanda alors:

"Vous suivre partout? Ca veut dire que vous comptez faire un voyage Maître?"

Ses yeux interrogaient ceux de son Maître. Il lui proposa alors de manger et de se laver. La jeune fille accepta en se courbant et partit se laver...

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- ou un long voyage je vous l'expliquerais apres. Prenez votre temps dans la salle de bain. je souhiate vraiment que vous vous sentiez bien ici

Puis il la regardsa partir à la salle de bain

- Vous troiuverez tout ce que vous voulez savons, huiles essentiels, serviettes, enfin tout le necessaire dans les armoires.

Desirez vous quelque chose ? Sinon je vous attend à la salle à manger, et je vous expliquerais ce voyage pendant notre repas? Désirez vous autre chose ?

La jeune fille se retourna une dernière fois vers Kaori avant de pénétrer dans la salle de bain:

"Maître, je suis votre esclave, pas vous..."

Et elle s'enferma dans la salle de bain.

Il y flottait une délicieuse odeur de fleurs délicates. Elle fit couler l'eau dans l'énorme baignoire et y rentra an même temps. De la mousse se formait au dessus de l'eau et la jeune fille se mit à rire avec innocence de cette fantaisie qu'elle ne connaissait pas.

Bientôt, la salle de bain s'emplit d'eau, débordant de la baignoire dans laquelle s'agitait énergiquement Sachiko. Elle avait toujours aimé l'eau et ses effets sur sa peau.

Finalement, au bout de trois quarts d'heures elle sortit.

L'adolescente prit une serviette et l'enroula autour de son corps. Ses vêtements qu'elle avait laissé par terre étaient trempés.

Les cheveux rouges lui dégoulinaient sur les épaules, et la jeune fille donnait l'impression de sortir d'une averse.

Elle ramassa ses affaires et les posa dehors, dans le jardin, en plein soleil. Au moment où elle s'apprétait à retourner dan sla salle d'eau, elle tomba nez à nez avec Kaori, sa serviette toujours autour d'elle.

Un sourire forcé se dessina sur ses lèvres, et elle dit honteusement:

"Euh, j'ai mouillé mes affaires... ainsi que votre salle de bain.. j'en suis désolée, je vais tout nettoyée... Promis...."

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"Maître, je suis votre esclave, pas vous..." s'etait gravé dans la tête de Kaori.

Il regrettait d'avoir acheter l'eslclave, car il avait honte. il refelchit comment devait il réagir. Il ne savait plus. Il y'avait cette tradition, puis ces marchands d'esclaves qu'il detestait. Si il y'avait des clients, il y'aurait encore des esclaves.... il ne savait plus il était perdu, perdu dans ses pensées.

Kaori tourmenté par ses questions, alla finir de préparer le repas, assez copieux pour la jeune fille qui devait avoir faim.

Il la croisa devant la salle de bain en serviette, il rougit legerement. Il n'avait pas l'habitude d'avoir une jeune fille habillé d'une simple serviette chez lui.

- ce n'est rien les habits vont secher, et la salle de bain ca se nettoie. N'ayez crainte je vous attend à la salle à manger...

*c'est bien elle fait un peu comme chez elle ...*

Sachiko se courba, tenant fermement sa serviette. Elle l'avait vu rougir, et la jeune fille se mit à rougir aussi:

"Euh, bien, je vous rejoins bientôt... J'ai quelques affaires de rechange... J'arrive"

Et elle s'éclipsa rapidement dans la salle de bain. Elle passa une chemise longue d'homme et un short kaki, quasiment dissimulé sous sa chemise.

Elle noua ses cheveux rouges et sortit de la salle d'eau, un peu plus présentable qu'avant.

Elle se perdit un peu dans la maison, mais finit par trouver la salle à manger. Kaori Za l'attendait déjà. Des mets délicats fumaient sur la table.

La jeune fille n'avait jamais rien vu de si beau. Elle ne savait pas si il était convenable pour une fille de sa classe, de s'assoir à une aussi somptueuse table. Ne sachant que faire, elle resta debout, sallivant devant les plats, attendant un ordre de son maître...

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Kaori décocha un leger sourire quand il vit la jeune fille arriver. C'etait le premier depuis qu'il lui donnait. Depuis longtemps les sourires de Kaorie etait devenus rare. Puis son visage redevint impassible.
Voyant qu'elle ne prenait pas la table il l'invita

- Installez vous je vous en prie. Servez vous de ce que vous voulez je pense que vous avez tres faim. J'ai cuisiné tout ce matin pour vous donc faitres honneur à ces plat. Je vous ai même fait une tarte au citron c'est ma spécialité.. J'espère que vous aprecierez.

Tout a coup il eut encore une grande honte il ne lui avait pas demandé son nom..sa voix le trahissait un peu pour une fois.

- Comment puis je vous appellez ? oui veuillez me pardonner de ne pas vous l'avoir demander avant

Puis il lui dit

- j'ai repensais a ce que vous m'avezt dit et je ne pense pas que j'ai le droit de vous prendre à votre famille et a vos amis.. Je vous demande de partir et de rentrer chez vous. Vous pourrez rester ici autant de jours que vous voulez et je vous donnerais l'argent necessaire pour rentrer chez vous ?

La jeune fille s'installa à l'immense table. Elle posa ses mains sur ses genoux, comme le faisait les grandes dames de la socièté.

Elle ne disait rien jusqu'à se qu'il lui demande son nom. Elle répondit simplement:

"On m'a appellé Sachiko, Sachiko Nagasaki.... Comme la ville japonaise... Mes parents adoptifs supposèrent que je venais d'ici..."

Elle repensa alors à son arrivée sur l'île, comment elle s'était retrouvée esclave, son enfance... Ses joues se mirent à rougir quand elle se souvint de son achat au marché.

Kaori ZA lui dit alors qu'il ne voulait pas la savoir malheureuse loin de ses parents, et qu'il lui offrait la liberté de partir.

LA jeune fille en resta muette. Elle se reprit et répondit alors:

"Cela serait inutile de me remettre en liberté. Je ne manque à personne, mes parents sont décédés, et les seuls amis que j'ai pu avoir, c'étaient eux... Et la liberté ne me tente pas trop en ce moment, car il y a quelque chose qui me fascine chez vous, et je me suis mis dans l'esprit que je trouverais ce qui me pousse à rester avec vous... Alors, si vous trouvez quelque chose à redire à cela..."

Elle se tut, et commença à manger ce qui se trouvait sur la table, avec un étonnant silence...

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- Bien Sachiko..
Non je ne trouve rien a dire à tout ça...
J'espère que vous prendreez un peu de bonheur dans votre nouvelle vie
Bon apetit alors .. ne vous privez pas.

Parlait d'un voix sans emotions. il cachait tout ce qu'il ressentait depuis longtemps.

Kaoris se se servit à son tour.

- Ce soir nous devons nous rendre chez mon grand père ... Avant de partir il voulait que je passe. Car il ne sait pas combien de temps dure le voyage, ni si il sera encore envie à mon retour.. Donc il faudra allez faire des achats pour vous acheter des habits de soirée. Même si vosu aimez pas ses habits vous ne les mettrez qu'une seule fois si vous voulez. Vous pourrez prendre queqlues vetements pour le voyage aussi....

Puis il pris une bouteille

- Desirez vous boire un peu de vin de pêche c'est de la fabrication maison ?

La voix de son maître lui faisait peur parfois. Une voix froide et sans émotions....

Elle leva son angélique visage vers Kaori, et le regarda étonnée:

"Une robe de soirée? Pour une esclave? Vous êtes sur que tout va bien? De plus, je n'ai jamais porté ce genre de vêtements, et je n'aurais aucune grâce dedans.... Et votre grand père s'intéresse surement très peu à une esclave, et pourrait considérer le fait que je mange à votre table comme révoltant... Je ne veux pas vous causer de problèmes, et en aucun cas vous faire dépenser de l'argent pour moi..."

Ce qu'il venait de lui dire lui paraissait étrange, et une sorte de boule se lova dans son estomac, si bien qu'elle n'eut plus vraiment faim.

Kaori lui proposa alors du vin, avec la même voix neutre. Elle refusa poliment en secouant la tête. Elle n'aimait pas le vin, et de toute façon, se comportait très mal quand elle en buvait...

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il fut surpris de sa reaction mais ne le montra pas.

- bon tres bien ... Vous resterez ici ..alors . J'irais seul chez mon grand père.

Apres le refus de Sachiko pour le vin il se servit.

- vous n'avez plus faim ?

Puis il se leva et alla cchercher une carte qu'il accrocha au mur

- voila c'est à Sket, ici que nous devons nous rendre connaissez vous la legende ?

Sachiko s'en voulait un peu de lui avoir répondu ceci. Un long silence s'installa entre eux.

Il se servit à boire, et alla chercher une vieille carte. Une carte de l'île.

Kaori lui demanda alors:

- voila c'est à Sket, ici, que nous devons nous rendre. Connaissez vous la legende ?

La jeune fille lui répondit qu'elle ne la connaissait nullement, mais qu'elle aimait les légendes et se ferait un plaisir de l'écouter.

Ses mains étaient posées sur ses genoux. Elle n'osait plus bouger, devant l'impartialité de son maître....

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Ses yeux s'allumerent un peu de vivacité quand elle lui demanda de raconter l'histoire de la legende. Cela lui rappellait quand il etait petit il aimait raconter des histoires à ses cousins. Il aimait ça et il aimait toujours mais c'etait rare qu'on lui en demande.

- Cette légende est à l'origine de notre île. L'île de Suden.

Il s'assit confortablement sa voix froide avait laissé place à une voix enthousiaste et pleine de chaleur

- Il y'a fort longtemps un jeune guerrier arriva à Suden, dans cette ville. Il n'était pas seul il était avec son esclave. A cette epoque pour aller au sud de la ville ou se trouvait le petit campement. ou se trouvait la mine d'or se faisait par voix maritime seulement. c'est encore le cas. Ce guerrier eut l'idée de faire une route commerciale vers la mine. il brava mille danger en traversant l'ile. Au sud Il fonda la ville de Sket. la route commerciale il ne put la crer car cette île est trop dangereuse. Donc on oublia cette route commerciale et on continua par voix d'eau tout comme aujourd'hui.

Mais si le projet de la route commerciale terrestre echoua, ce voyage le metamorphosa sa vie,et le fit grandir intérieurement.

Cette légende est depuis devenue une sorte de rite initiatique que tous les jeunes gens de Suden sont obligés de perpétuer. Ainsi, les enfants des familles de Suden se doivent de pratiquer au moins une fois dans leur vie le voyage qui les mène jusqu'à Sket, la ville de l'autre côté de l'île. Et ils doivent forcément être accompagné d'un esclave, tout comme le jeune guerrier l'était lui aussi.

Certains Sudenliens ne font ça que pour perpétuer la tradition, poussés et même forcés par leurs parents, d'autres par ambition personnelle d'autres encore par goût de l'aventure... Ce voyage est une sorte d'emblème qui gére toute la vie à Suden.

Il est indispensable de faire ce voyage pour etre reconnue comme citoyen à part entière

C'est pas un voyage facile car il faut traversé des regions dangereuses peuplé d'êtres dnagereux, et de magie.On raconte mille et une choses sur ces regions. Certains ne sont jamais revenus.

Puis il se tu. Et ses yeux reprirent leurs couleurs e sa voix sa neutralité.

- moi je fais, car j'ai promis de le faire à mes parent sur le lit de mort.

Cela lui faisait mal de parler de ça. Mais il ne montra rien. il regarda la carte. Et resta en silence.

La jeune fille était captivée par l'éloquence de son maître. Le récit le métamorphosé.

A la fin de son histoire, il se tut et lui avoua qu'il avait fait la promesse à ses parents qu'il accomplierait ce périple.

Sachiko baissa la tête, un peu nerveuse, et lâcha quand même:

"Alors, ça veut dire que vous m'avez acheté pour faire ce voyage?..."

Elle se mordit les lèvres de contrariété, et leva son doux visage.

"Bien, je vous accompagnerais... Quand partirons nous?"

C'était étrange, mais depuis qu'elle avait compris qu'il ne l'avait acheté que pour ce voyage, elle se sentit soudain inutile, comme un vulgaire objet dont on se sert, et qui, quand il ne nous plait plus, part à la poubelle. Elle se sentait comme cet objet... La boule au ventre se forma un peu plus. Elle se leva de table, se courba en signe de salut, et s'enfuit dans le jardin. L'adolescente avait besoin de respirer, pour ne pas pleurer...

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Il se leva et suivit Sachiko.
Il marchait dans le parc, il parlait assez fort pour qu'elle puisse entendre.

- Sachiko s'il vous plait... je veux vous parler. Oui je vous ai pris pour ce voyage. Mais je ne l'aurais jamais fait sans cette tradition et cette promesse. mais ce n'est pas contre vous. C'est contre unsystéme que je suis. je suis contre l'enlevement des gens pour en faire des esclaves. je suis contre traiter les gens comme des chiens. Je ne supporte pas les marchands d'esclaves, vous avez bien du le voir.

Je suis honnête avec vous depuis le debut. Vous auriez preferé que je vous mente ?

Je dois avouer que je suis heureux de vous connaitre et que cette tradition m'a permi de vous connaitre.

Sachiko je souhaiterais qu'apres ce voyage vous rester vivre ici et m'aider à l'epicerie, c'est pas une vie de rêve que je vous propose, mais c'est la mienne. Et j'ai besoin de quelqu'un pour faire tourner cette belle boutique.

Je sais vous avez vecu des choses difficiles, moi aussi. Si vous pouviez m'aider et que vous me laissez vous aider. Peut être que nous pourrions nous en sortir. j'ai vraiment besoin de vous

Sa voix neutre était tombé et pour une fois il avait laissé parlé son coeur. il s'etait étonné de voir que son coeur pouvait encore parler. Kaori s'assit pres d'une fontaine. Il attendit un petit moment.
Il ne savait plus quoi dire ni comment réagir.

Puis n'ayant pas de reponse il se leva et se dirigea vers la maison.
Apparament il ne savait pas y faire avec les autres. Il avait fait des efforts en vain.

La jeune fille s'était assisse de l'autre côté de la fontaine. Elle écoutait le murmure de l'eau en retenant ses larmes. Le visage dans ses paumes, elle respirait du mieux qu'elle pouvait.

Kaori arriva et commença à lui parler. Elle n'osait rien dire, trouvant son comportement totalement ridicule. Après de longues minutes, il rentra dans la villa.

Sachiko resta seule, dans les bruits de la nuits, et le coulis de l'eau.

Elle n'osait plus rentrer dans la villa, de peur de croiser Kaori, alors, elle resta le dos contre la fontaine, à écouter le murmure de l'eau. Doucement, Morphée l'emmena au pays des Songes, et elle s'endormit à la belle étoile, comme elle avait très souvent l'habitude de le faire...

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Kaori rangea la maison et se prepara pour allez voir son grand père. il irait seul. Tout comme ce voyage il voulait y aller seul. Sachiko ferais ce qu'elle voudrait, elle pourait rester dans la maison ou partir. Mais c'est pas grave il irait tout seul faire son periple.

Il passa en debut de soirée elle dormat pres de la fontaine. Il revint sur ses pas et lui prit des couvertures. Il mis la couverture dessus sans la reveiller.

Il ne voulait pas la reveiller.

Puis il partit il passa la soirée, chez son ailleul. Tout se passa bien Il menti en disant que tout se passait pour le mieux. Et qu'il partirais bientot avec l'esclave.

Il passa une agreable soirée. Puis revint tard dans la nuit elle était toujours dans le parc. Il n'osa la reveillé. il alla ouvrir le portail du parc. Au cas ou elle voudrait partir.
Puis revint ou elle dormait la regarda quelques instants.

*jamais on ne pourra s'entendre on est trop différent, on ne se comprend pas,
Je t'en veux pas bonne nuit....*

Puis il alla marcher dans le parc pour penser à tout cette journée.

La lumière du soleil la réveilla le lendemain matin. Les oiseaux l'éveillèrent à leur chants. Tout autour d'elle la nature s'étirait, offrant leur attouts aux regards de l'Aurore.

Sachiko étendit ses bras pour décontracter ses muscles noués, et baîlla fortement. Elle s'aperçut alors qu'une couverture avait été posé sur ses épaules.

La jeune femme la serra sur son coeur, et dit à voix basse:

"Merci maître..."

Elle se leva et secoua ses vêtements, couvert d'une douce rosée. Elle attacha ses longs cheveux rouges et se frotta les yeux pour effacer toute trace de sable du marchand...

Elle porta la couverture à l'intérieur. Toute la villa était calme.

*Kaori dort surement* pensa la jeune fille.

Elle posa alors la couette et décida d'aller préparer un petit déjeuner pour le maître. Elle se perdit deux fois dans la villa, mais trouva finalement la cuisine.

Dans un coin se trouvait un vieux tablier qu'elle enfila rapidement. Elle se servit alors dans les placards pour préparer le repas.

Sachiko pressa plusieurs oranges, prépara quelques crêpes et dénicha un pot de confiture de framboises. Elle installa le tout sur un plateau qu'elle posa sur la grande table du salon.

A peine avait elle terminé, que Kaori entra...

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Il fut étonné de voir Sachiko encore ici. En train de poser pour le petit dejeuner. Il avait même espérait qu'elle soit partie. La il devait lui parler. Mais il ne savait aps comment lui annoncer qu'il irait tout seul

-Merci pour le petit dejeuner

dit Kaori d'un ton froid.

- Sachiko je voulais te parler et te dire

Voila j'y ai pensé une grande partie de la nuit je crois que nous sommes trop différents pour faire ce voyage ensemble. Ce n'est aps de ta faute c'est entierement de la mienne. Je ne sias pas faire avec les gens. j'en suis vraiment désolé.
Tu fais ce que tu veuc tu peux rester ici et vivre ici, et même travailler ou pas à l'épicerie, ou partir.

Puis Kaori s'installa pour prendre son petit dejeuner il aurait voulut l'inviter.Mais il ne savait pas commetn elle le prendrait.donc il ne dit rien et commença à prendre son petit dejeuner

Son joli sourire s'effaça rapidement de ses lèvres vermeilles. Elle étala doucement les élèments du plateau, en contrôlant les tremblements de ses mains. Cette voix implacable venait de la condamner sans rémission.

Elle dégagea d'un revers de la main une mèche qui lui tombée sur les yeux et se recula pour regarder Kaori s'installer.

Elle resta un long moment silencieuse, ne sachant que dire, ou réfléchissant aux mille façons de lui répliquer.

Finalement, elle déclara d'une voix sans timbre, les mains dans son dos:

"Vous m'avez acheté, et mon devoir et de vous suivre. Quoique vous décidiez, je serais collée à votre ombre, au péril de ma vie. Battez moi, tuez moi si cela vous chante, mais je ne vous lacherais pas d'une semelle.... Je vous accompagnerais dans votre périple, et vous réaliserez votre promesse, et les termes de la légende... Car vous venez d'acquérir la plus collante et la plus butée de toute les esclaves..."

Elle avait trop parlé, elle le savait. Sa vie se résumait en celle de son maître, et quoiqu'il arrive, elle lui serait fidèle, car elle avait une dette envers lui...

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Il la regarda. Et il aurait voulut lui dire qu'il l'apprecié mais il ne lui dit rien. Il la regarda parler
Il savait qu'il s'entendraient jamais.

- Je sais que je ne vous ferais pas changer d'avis. Bien.

Il avait repris son ton froid

Son esprit etait embrouillé, il n'arrivait pas à communiquer avec elle.

Il s'arrêta car à chaque fois qu'il lui disait une chose, il la faisait pleurer, ou elle partait , ou elle ne l'ecoutait pas.
Il s'interdisait de lui parler pour ne pas que cela recommence.

Il pris son petit dejeuner dans le silence.

Sachiko respecta ce silence monastique. Elle ne voulait surtout pas le déranger. Quand il eut fini de manger, elle rassembla les assiettes et les verres sur le plateau et les ramena dans la cuisine.

Elle fit la cuisine distraitement, sans un mot, mais avec le cerveau bouillonnant. Elle retira son tablier et dénoua ses longs cheveux.

Quand elle rentra dans la salle, Kaori était toujours là, le visage dans ses paumes, sans rien dire.

Elle s'approcha de lui et dit alors:

"Il faudrait songer à se préparer pour le voyage Maître..."

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- nous avons du temps nous partons que dans trois jours avec la nouvelle lune. C'est une croyance on ne part pas avant la nouvelle lune....
Puis pour ce qui est du materiel tout est prêt.

Il la regarda et lui dit

- franchement je ne sais pas comment communiquer avec vous.
J'ai essayer tout mais j'yarrive pas. Je veux aps passer ma vie à vous ignorer, mais j'aimerais savoir comment oun pourrais communiquer sans que je declenche une crise entre nous.... je sais pas comment faire si vous pouviez m'aider....

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