L'aventure nous attend!

Nombre de messages : 94 Age : 114 Date d'inscription : 22/09/2006

Kaori s'endormit avec les belles paroles de Sachiko qui lui touchérent le coeur.

Cela faisait longtemps qu'on lui avait dit une chose aussi gentille et il pensa que Sachiko etait pour lui une étoile qui brillait et qui reveillait en lui des choses qu'uil avait enfoui tel que son sourire.

Il ferma les yeux avant de sombrer dans un sommeil profond

Il s'endormit paisiblement, en rêvant. Ses nuits étaient remplies de rêves. il s'en souvenait que rarement. En générale ils se rappellait des plus horribles.

Quand il se reveilla en plein nuit il entreouvrit les yeux et vit Sachiko qui veillait sur lui. Il eut un grand sentiment de culpabilite de s'être endormi alors que Sachiko veillait. Il s'en voulait. Il ouvrit doucement les yeux et la regarda quelques instant elle essayait de lutter contre la fatigue. Il était charmé par sa beauté naturelle.
Il s'ebourriffa les cheveux pour se reveiller et dit

- Sachiko tu dois etre fatigue, vas y profites pour dormir en demain la route sera longue

Puis il se leva pour se degourdir un peu les jambes et ajouta du bois dans le feu.

Sachiko approuva d'un signe de tête, et s'allongea. Elle le regarda s'éloigner un peu du camp, et ferma les yeux. Le bruit des feuilles et de l'eau autour d'elle l'apaisait, formant une sorte de cocon. Elle se sentait bien mieux ici que dans une ville, véritable jungle, et mille fois plus dangereuse que la Nature.

Son sommeil fut agité de nombreux rêves, tous plus étranges les uns que les autres. Elle essaya de les repousser, mais ils étaient plus fort qu'elle, si bien qu'elle se reveilla en sursaut, après avoir rêvée de l'attaque d'un jaguar.

Il faisait déjà jour, le soleil était haut, et Sachiko eut honte d'avoir dormi aussi longtemps. Elle tourna la tête dans tous les sens, cherchant du regard Kaori. L'adolescente se leva, les membres douloureux, et appella son maître de sa vois cristalline:

"Maître Za! Maître Za!"

Mais personne ne lui répondit.

De plus, il n'y avait plus aucune trace des affaires de Kaori dans le camps. Elle décida de partir à sa recherche. Elle courut pendant un moment à travers la fôret, se faisant lacérer les jambes par des ronces. L'avait il abandonné? Des larmes commençaient à lui monter aux yeux. Elle lui avait pourtant dit qu'elle voulait rester avec lui, le protéger... Il n'avait pas le droit de la laisser seule.

Elle s'arreta, à la fois de crier, mais aussi de courir, et se roula en boule sur le sol. En plus d'être seule, elle s'était perdue... De grosses larmes glissèrent le long de ses joues...

"Kaori..." dit elle en pleurant "Où êtes vous..."

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Kaori était parti chasser un peu et trouver un peu d’eau pour refaire des provisions.
Il avait fait une belle chasse et avait pu trouver une source d’eau à laquelle il avait rempli les gourdes. Il avait cueillis en chemin des baies sauvages et autres racines comestibles. Il se dit que Sachiko aurait de quoi manger quand elle se réveillerai. Comme ça ils n’aurait plus qu’a reprendre la route. La longue route. Kaori regarda un instant un oiseau bleu et orangeais qui chanté sur la branche d’un grand arbre. Il écouta cette mélodie. C’était d’une grande douceur. Puis il ramassa de feuilles qui calmait les douleurs. Il en cueillit un bon paquet

* on sait jamais ce que l’avenir nous réserve*

Quand il revint il vit que Sachiko était parti, il fit un tour du regard, et crut qu’elle était parti . Etre libre malgres tout ce qu’elle disait c’est le rêve de tout esclave.

*elle a du se dire que la forêt était plus sur que la ville…pour elle*

Kaori fut peiné mais comprenait la décision de la jeune fille. Il s’assit dans un coin pour encaisser la nouvelle, car il commençait à s’attacher à elle…

Mais soudain il crut entendre un cri, il reconnut la voix de Sachiko. Il se leva d’un bon etl se précipita vers le lieu d’ou provenait les cris. Dans sa précipitation il faillit tomber plusieurs fois …Il lâcha pour aller plus vite son sac et les produits de la chasse et de la cueillette du matin.

*c’est Sachiko que lui arrive t’il, pourtant j’avais bien inspecté les lieux…. *

Apres une grande course a travers la forêt il arriva auprès d’elle.
Elle était la en boule en train de pleurer. Il s’approcha d’elle et s’accroupi

- mais qu’as tu Sachiko ? que se passe t’il ? pourquoi pleures tu ?

Kaori était derrière elle. Elle releva la tête, les yeux encore pleins de larmes. Puis, s'apercevant qu'il s'agissait de son maître, elle lui sauta dans les bras en pleurant:

"J'ai cru que vous m'aviez abandonné! J'étais toute seule! J'avais peur pour vous!!!"

Ses paroles étaient entrecoupées de sanglots. Elle enfonça sa tête dans la nuque de son maître, le baignant de larmes. Sachiko ne parvenait pas à se calmer. Elle avait eu si peur...

Ses petits doigts s'aggripèrent aux vêtements de son maître. Elle ne voulait plus le lâcher, elle ne voulait plus qu'il parte. Au bout d'un moment elle s'arréta, et releva les yeux vers Kaori, toute désolée:

"Excusez moi maître, je me suis emporté pour rien..."

Et elle quitta à regret ses bras aimés...

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Kaori hésita un instant puis de sa main il enleva une larme du visage de Sachiko.

- ne t’excuse pas Sachiko. Je comprends que tu ai eu peur…. Mais sache que je peux te faire la promesse de ne pas t’abandonner.

Il prit Sachiko dans ses bras pour l’apaiser et la rassurer. Quand Kaori sentit qu’elle était mieux, il déposa un baser sur son front et lui dit. Il rougit légèrement se rendant compte de ce qu’il venait de faire.

- On ira ensemble jusqu’au bout de cette aventure ensemble, fais-moi confiance.

Ils revinrent sur le lieux ou ils avaient dormis. Kaori ramassa les affaires qu’il avaient laissé tomber durant sa course

- dans un premier j’ai cru que tu étais partie seul, puis je t’ai entendu crier et je me suis précipité.

Ils reprirent leur route. Ils marchèrent longtemps à travers la forêt. Tantôt ils discutaient, tantôt en silence, Kaori se faisait de plus en plus bavard. Parfois même ils riaient de bon cœur. Ils arrivèrent sur une petite clairière et a leur grande surprise, ils virent une drôle de bâtisse avec des fenêtres toutes rondes. Il y’avait des arbres en fleurs tout semblait bien calme peut être trop calme. Qui pouvait habiter ici, en plein mileu de cette grande forêt.

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- Allons voir mais restons sur nos gardes Sachiko._________________

Kaori avait su la calmer... Quelques heures plus tard, ils étaient de nouveau en route pour Suden. Ils parlèrent, de tout et de rien, plaisantant. Une vraie complicité s'était instaurée entre eux. Le beau sourire de Sachiko n'arrivait plus à disparaitre de son visage d'adolescente.

Ils arrivèrent bientot à une deuxième clairière. Une maisonnette s'y dressait, étrange et inquiétante à la fois. Kaori lui demanda de rester sur ses gardes, mais elle n'écouta pas, et se dirigea, fascinée vers la maison. Elle regarda à travers les fenetres.

Un feu de bois crépitait dans la foret mais il n'y avait aucune trace de vie. Cette maison lui faisait penser à une vieille légende qu'elle n'arrivait plus vraiment à se rappeller, a part le fait qu'il y avait une méchante sorcière qui mangeait des enfants...

Tout ce qu'elle espéra, c'est qu'il n'y eut pas de sorcière... Elle se retourna vers Kaori, et lui dit alors:

"Tout est calme ici.... "

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Kaori s’avança avec prudence. Il se disait c’était trop calme pour que ça ne cache rien. Il regarda Sachiko

- oui tout semble calme

Son épée a la main prêt a s’en servir si nécessaire, il se dirigea vers la fenêtre et regarda à son tour par la fenêtre. Un feu brûle dans la cheminée.

**C’est bizarre, car il ne fait pas si froid.**

- Sachiko s’il y’a du feu, il quelqu’un dans cette maison.

A travers la vitre on pouvait apercevoir deux fauteuils, recouverts de grands tissus pastel, qui se faisaient face près de la cheminée.
Plus près de la fenêtre se trouvait un grande table en bois, entourait des chaises.

Il essaya de scruter a travers la vitre pour voir s’il y’ avait quelqu’un.
Il cria, sursauta et fit trois pas en arrière quand il vit face à lui un visage qui venait d’apparaître. Il faillit lâcher son épée.
Un vieil homme regardait tout simplement par sa fenêtre.

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Il ouvrit la fenêtre et dit

- entrez, entrez , c’est pas souvent que je vois du monde ici….

L’homme quitta la fenêtre et se dirigea vers l’entrée de la maison. Il sorti sur le pas de sa porte. Il se déplaçait avec beaucoup de mal, le dos courbé, appuyé sur une cane en bois.

- approchez jeunes gens c’est rare la compagnie par ici…N’ayez craintes, vous n’avez points besoin de vos armes jeune homme.

Kaori rangea son épée et avança tout près de Sachiko.

Sachiko crut mourir de peur quand elle apercut le vieillard, mais aussi son maitre sautait comme un fou. Elle se précipita vers lui, lui agrippant le bras pour qu'il se calme. Ses yeux rancontrèrent alors le regard du vieillard, et un frisson lui parcourut l'échine.

Elle ne sentait rien de bon en lui... Son empathie reprenait, et elle avait envie de vomir. Elle n'arrivait pas à canaliser cette énergie qui lui traversait le corps, mais ne voulait pas le montrer à son maître. Ses doigts se serrèrent fortement sur le pommeau de son épée, et elle tourna la tête pour échapper au regard du vieillard.

Sachiko dit alors discretement à son maître:

"Maître Za, cet homme... Je ne ressens rien de très net en lui... En fait, il me fiche carrément la trouille..."

Ses yeux verts étaient emplis d'une terreur muette...

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Kaori vit la terreur dans les yeux de Sachiko.
Il la prit délicatement par le bras et lui chuchota

- nous restons sur nos gardes, ensemble nous risquons pas grand chose.

Puis ils avancèrent près de l'entrée de la maison.

- Venez approcher vous prendrez bien un petit encas et vous vous reposerez bien un moment chez moi.

Kaori avançait avec prudence tenant par le bras Sachiko. Ensemble il se sentait plus fort pour affronter.

L’homme les précéda à l’intérieur de la maison.

- je vous en prie installez vous vous savez les visites sont peu nombreuses par ici.

Sachiko et Kaori s’installèrent sur un fauteuil l’un à côté de l’autre se tenant sur leur garde.

- tu crois qu’on devrait manger ce qu’il va nous présenter….
Dit tout doucement Kaori

Le viel homme revint avec des un plateaux sur lequel il se trouvait des biscuits, et des verres, ainsi qu’un carafe rempli d’eau.
L’homme s’assit en face d’eux

- Racontez moi ce qui vous amène par ici.

Kaori expliqua en quelques mots ce qu’ils faisaient ici et quelques détails de leur début de voyage.
Leur hôte semblait intéressé… Mais il ne dit pas que Sachiko était une esclave, il dit seulement que c’était son amie.

L’homme se pencha vers le plateau prit la carafe et servit trois verres d’eau et il invita ses deux invités a ses servir.

Kaori regarda Sachiko pour savoir ce qu’il fallait faire.

La jeune fille courba la tête quand l'homme présenta les gateaux. Elle s'excusa alors et lui dit:

"Désolée, mais nous ne pouvons pas... Nous sommes que de passage, et manger maintenant ne serait pas bon si nous voulons marcher vite pour sortir de la foret avant la nuit... Nous risquons d'avoir des crampes.... Désolée"

Malgré son appréhension envers le vieillard, elle parvint tout de meme à sourire pour appuyer ses paroles.

Discrètement, elle prit la main de Kaori et la serra dans sa paume. Elle n'arrivait pas à calmer sa peur, et ces effluves de haine et de mystère qui lui parvenaient de leur hôte. C'était comme si des milliers de flèches lui traversaient le coeur sans arret. Son envie de vomir s'accentua. Malgré l'aspect jovial et accueillant de leur hôte, une impression de malaise ne quittait pas la jeune fille.

Ce qui était le plus étrange, c'était que l'homme était seul, au milieu de la fôret. De plus, il n'y avait pas de puit, ni de source autour de sa maison, et aucun potager non plus... Comment se nourrisait il? Il était trop loin de la ville, et trop âgé pour chasser... Cet homme ne lui inspirait vraiment pas confiance. Ses doigts se ressèrent encore plus sur la main de Kaori. Du regard, elle l'implora de partir...

Quand soudain, une pensée lui traversa l'esprit.. Et si c'était le fameux monstre dont avait parlé la petite elfe au début de leur voyage.

Sachiko se leva précipitamment. Ils étaient tombés dans un piège...

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A la réaction de Sachiko le visage de l’homme se transforma. Le vieil homme affable laissa apparaître le visage d’un démon vert. Couvert de pustule, des yeux jaune et noir. Des canines qui sortaient d’une bouche difforme.
D’’une voix plus rauque qui n’avait rien à voir avec celle du vieil homme qui les avait accueillis.

- Vous êtes venus me déranger dans mon antre vous allez devoir payer ….

Il souleva la table et l’envoya sur Kaori qui l’évita de justesse.
Kaori se métamorphosa en panthère… peut être que Sachiko serait surprise car il ne lui avait jamais montré son pouvoir. Il sauta et avança en montrant les crocs. Le démon recula de surpris. Le félin rugit férocement.
Il sauta à la gorge de la créature des enfers mais il ne put attraper que le bras Les crocs de l’animal se plantèrent dans la chair verte. Un sang noirâtre se répandit sur le bras. La bête hurla mais de son autre main elle prit la tête de la panthère et appuya sur les yeux. Les dents lâchèrent les bras. Kaori recula, le monstre avança vers lui. Le bras mordu saignait maintenant à grosses gouttes.
Le démon sorti une baguette de bois et la tendit vers Kaori. La panthère fut immédiatement pris de soubresaut. L’animal se tordait de douleur. Il avançait et Kaori se tordait de douleur, et plus il avancait et plus la douleur augmnetait.
Kaori essaya de vaincre cette douleur qui le paralysait et se jeta d’un saut sur les jambes de son adversaire. Le monstre avait su reculer jsute au bon moment, il maintenait grâce à sa baguette Kaori dans une atroce douleur

- si vous avancez jeune fille je tue votre ami…

Sachiko faillit pousser un cri d'effroi quand l'homme se métamorphosa. Elle ne s'était pas trompée, c'était bien un être mauvais... Le démon de la fôret. Ses mains aggripèrent d'un geste souple la poignet de Black Sword, et se préparait à l'attaquer....

Quand soudain, Kaori se transforma en panthère. Décontenancée, l'adolescente esquissa un geste de recul. Que se passait il? Elle regarda les deux monstres se battre, la panthère ayant légèrement le dessus, jusqu'au moment où le monstre reprit de la force.

C'est alors qu'il maintena Kaori grâce à la magie. C'était au tour de Sachiko de réagir. Alors qu'elle s'apprétait à lui enfoncer son épée dans le corps, il la menaça de tuer son maître. Les voilà dans une impasse. Sachiko ne savait pas trop comment réagir... Son maître était en danger, il souffrait, et elle, elle était là, à ne rien faire.

La décision qu'elle prit fut surement la plus lourde de toute sa vie. Ses yeux se firent menaçants, et elle lança d'une voix hargneuse:

"Je prend le risque..."

Aussitôt, son bras armé s'élança avec une vivacité et une fulgurance incroyable, qui trancha la main tenant la baguette du sorcier. Un jais noir se répandit dans la pièce, aspergeant le visage de la jeune fille qui fut aveuglée pendant un moment. Profitant de cette distraction, le démon la gifla violemment, oubliant sa main amputée.

L'adolescente fut projetée contre un guéridon, et elle sentit un des coins s'enfoncer dans sa peau. Une grimace de douleur s'inscrivit sur son visage. Ne lâchant pas son arme, elle s'en servit pour se relever, tenant ses côtes bléssés. Du coin de l'oeil, elle pouvait voir Kaori se relever avec difficulté. En tout cas, il était en vie.

Ses gestes étaient moins précis à cause de la douleur, et la jeune fille dut puiser au fond d'elle même pour ficher son épée dans les reins du démon. La rage de l'homme se fit plus intense, et il décocha une nouvelle gifle à l'encontre de l'esclave. De nouveau elle tomba, évitant heureusement des meubles. Sa tête heurta violemment le sol, et tout un coup, elle ne vit plus rien que du noir. Ses membres étaient endoloris, et elle ne parvenait plus à se relever. C'est alors que le démon se jetta sur elle. Dans un dernier effort, elle plaça son épée en effet, où le démon s'empala dessus... Elle sentit le poids de son corps mort sur le sien, appuyant ses côtes bléssés. L'odeur fétide lui emplissait les narines, au point de l'étouffer... Tout devint noir... Sachiko s'était evanouie en prononçant ses derniers mots:

"Kaori..."

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Le sabre tranchant de Sachiko coupa la main verte du démon qui roula jusque sous l’animal au pelage noir. A cet instant même la douleur avait cessé. Il était toujours a terre quand il reprit apparence humaine.

Kaori s’était relevé et repris ses esprits rapidement. Voulant se jeter sur le démon rapidement pour prêter main forte a Sachiko, il s’emmêla les jambes et chuta lourdement. Il se remit debout mais le démon était déjà sur la jeune fille. Il se jeta sur le démon mais il ne put que constater la mort de celui ci empaler sur la lame tranchante de Sachiko.

Mais Sachiko avait perdu connaissance. Elle l’avait appelée par son prénom mais Kaori n’y prêta pas cas, il fallait la sauver c’était sa priorité.
Le corps du monstre était étalé de tout son poid sur la jeune fille inanimée. Il fallait vite que Kaori dégage cette dépouille puante qui perdait son sang noir. Cette encre noir puant venait s’étaler sur le sol de la salle de la petite maison si coquette.
Kaori souleva le corps et dégagea Sachiko de ce poids. Elle était mal en point. Il se précipita pour écouter si elle était encore en vie. C ‘était ça le plus important. Après vérification il en conclut vu les hématomes qu’elle devait avoir des blessures aux côtes, ce qui est très douloureux. Il se rappelait que lui-même une fois avait été blessées aux côtes et il en avait souffert pendant des jours. Il fallait pas qu’elle bouge.

**pourvu qu’elle n’ai pas les côtes cassées**

Il fit le tour de la maison, au fond de la salle on trouvait une cuisine bien équipée, avec de nombeux aliments séchés, mais aussi des herbes de toutes sortes. A côte de l’entrée de la cuisine il y’avait une autre porte donnant sur une chambre. Une chambre avec des tentures rouges et noirs aux murs et au centre un grand lit. Kaori inspecta la chambre. Tout avait l’air normal.
Il alla chercher Sachiko et la déposa sur le lit. Puis il prit un chiffon qu’il humidifia et lui passa sur le visage et les mains pour enlever le sang du démon. Il prit un autre linge mouillée qu’il deposa sur ses hématomes.
Après avoir fait dix fois le tour de la maison pour s’assuré que Sachiko ne risquait rien, il s’occupa du corps du maitre de ses lieux. Enfin l’ex-maitre de ses lieux car son corps était maintenant froid. Le démon finit brulé dans un grand feu devant la maison que Kaori venait de preparer.
Une fois cette corvée terminée, il retourna veillée sur Sachiko. Il s’assit sur le lit et la regarda un instant, elle l’avait appelé par son prénom avant de s’évanouir. Cela revenait dans sa mémoire mais il en était pas sûr. L’avait il rêvé ? peut être… Elle dormait paisiblement.
Il se dit qu’elle aurait sûrement faim à son réveil.

**autant profiter de la belle cuisine.**

Il en profita pour jeter les biscuits probablement empoisonnés et se mit à l’œuvre. Les produits de la chasse et de la cueillette du matin sous les mains agiles de Kaori se transformaient en un excellent repas. Kaori savait et aimait faire la cuisine depuis qu’il était tout petit. Tout était prêt pour le réveil de Sachiko. Il revint sur le lit. Il observait le moindre geste de la jeune fille. Son visage avait beaucoup de charme pensait il. D’un geste tendre il enleva une mèche de ses cheveux qui lui tombait sur les yeux.

Son flanc droit lui faisait horriblement mal, mais elle n'arrivait pas à l'oublier même dans le sommeil. Elle ne se souvenait de rien à partir de sa chute, son esprit était embrouillé... Elle se souvint simplement que son corps lui parut moins lourd à un moment et qu'elle fut même soulevée. A cet instant, Sachiko avait même cru que son âme s'élevait vers les cieux...

Son sommeil fut rempli d'horribles cauchemars. Elle voyait le démon fondre sur elle, l'avaler, la déchirer... Elle voyait aussi la penthère au pelage noir se jeter sur son cou, briser la nuque de l'être maléfique. Toutes les couleurs fondaient, se mélangaient les unes avec les autres... On aurait dit qu'elle eut pris des hallucinogènes...

Elle ouvrit péniblement les yeux... Tout était calme autour d'elle. Etait elle morte? Sa tête roula doucement sur le côté, et elle vit Kaori... Un doux sourire illumina le visage de la jeune fille... Elle était encore vivante... Et Kaori aussi.

L'esclave s'appuya sur son bras gauche pour se soulever un peu, et de sa main droite, elle s'aggripa au cou de Kaori. Ses doigts fins passèrent dans la nuque de son maître, s'entremèlerent dans ses cheveux. Elle rapprocha le visage de Kaori du sien, et quand ils ne furent plus qu'à deux centimètres l'un de l'autre, Sachiko déposa ses lèvres sur celle de son maître. Elle avait eu tellement peur de ne pas le revoir, que ce baiser lui prouvait qu'ils existaient bien tout les deux. Leurs lèvres s'unirent pendant un long moment, et Sachiko se laissa retomber doucement dur le lit.

Elle ne savait pas comment Kaori allait réagir à cela, et elle ne s'en soucia pas. Son âme était lègére, légère de se sentir vivante, légère d'avoir avouer à Kaori l'amour qu'elle lui portait depuis leur première rencontre. Elle tourna la tête sur le côté, et observa doucement le vol des oiseaux à travers la fenêtre. Tout lui paraissait merveilleux à ce moment.

Sachiko décida alors de regarder l'état de ses côtes. Ses doigts tatèrent la peau meurtri, et une petite grimace de douleur s'inscrivit sur le visage de l'adolescente. Un bel hématome noir se propageait sur le côté droit, de dessous la poitrine, jusqu'au milieu du tronc. Visiblement, ce n'était pas cassé, juste un peu douloureux.

Elle replongea alors dans la contemplation de la nature..

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Kaori fut heureux de voir que Sachiko se réveillait avec le sourire. Il voulut lui parler mais il en eut pas le temps qu’elle s’accrocha à son cou et l’embrassa. Le jeune homme fut surpris, ému et ne sut pas comment réagir de suite. Son cœur s’accéléra, et ses yeux pétillèrent de joie, son corps fut parcourut de frisson. Est ce que c’était l’effet de l’amour ?. Il se rendit qui compte qu’il avait des sentiments très fort envers son esclave. Il avait toujours feint de les ignorer mais là ils étaient bien présents. Ses penses étaient devenues confuses.
Sa main hesita un instant puis passa à travers les beaux cheveux couleur d’ébène de Sachiko, puis glisserent tendrement sur sa joue pour finir sur ses lèvres.

Avec une voix douce et heistante.

- tout va bien, nous…, je enfin…

Il balbutia tellement il était rempli d’émotion.. Aucune parole ne venait a lui, il cherchait ses mots, mais il se trouvait un peu stupide. Comment repondre à un baiser ? ce n’est pas la peine de faire des grands discours.
Il s’appuya sur le lit et se pencha près de la tête. Il effleura les lèvres de Sachiko puis l’embrassa tendrement. Un baiser c’est magique, c’est un instant intime qui donnait tant de joie. Cet instant lui semblait presque irréel il se disait qu’il allait se réveiller. Kaori s’abandonna à ce doux plaisir. Il était comme sur un nuage tout lui semblait secondaire, seule la jeune fille, comptait pour lui.
Son corps se releva doucement, ses yeux ne quittaient pas les yeux de Sachiko. Un sourire rayonnant se dessina sur son visage. Leur mains se trouvèrent et leur doigts s’enlacèrent.

- Comment tu te sens ?

Le soignant regarda les plaies de sa malade

- je pense que tu as rien de cassé mais tu vas devoir te reposer car c’est très douloureux.
Je vais te chercher de quoi te restaurer tu dois avoir faim. Je .. enfin je reviens.

Il se leva d’un pas rapide car il ne voulait pas laisser sa malade seule. Puis revint avec un plateau de diverses préparations. Le plateau déposé sur un petit meuble proche du table, dégageait des odeurs agréables qui ouvraient l’appétit.

- As tu faim ?

La jeune fille n'avait pas spécialement faim. Elle n'avait pas spécialement envie de quelque chose. Tout lui paraissait éphémère et beau, qu'elle n'avait pas envie de gâcher ses moments précieux avec des futilités. Elle secoua la tête pour signifier son refus, et sortit ses jambes de son lit pour s'asseoir sur le rebord.

Silencieusement, elle contempla longtemps le visage de Kaori, et murmura alors:

"Je n'ai pas peur de toi... "

Elle se tut un instant, et pencha la tête sur le côté avant de lui demander de nouveau:

"Pourquoi ne me l'as tu pas dit? "

Sachiko en voulait un peu à son maître de lui avoir caché la vérité sur son compte. Certes, elle avait été un peu choqué au début, mais ce n'était pas non plus la peine d'en faire tout un plat... Sachiko était rarement effrayée par quelque chose... Même la mort n'avait pas d'impact significatif sur elle.

Elle se leva, se tenant les côtes, encore douloureuses, et s'assit sur les genoux de Kaori. Elle colla son petit corps contre celui de l'homme et posa sa tête au creux de son épaule. Ses bras entourèrent le torse de Kaori, et elle resta ainsi un long moment. Elle ne voulait plus qu'il la laisse. D'une voix éteinte, elle lui dit alors:

"J'ai déjà rêvé de toi... Bien avant qu'on se connaisse... C'était quand j'étais petite... J'avais rêvé d'une énorme panthère noire... Ses yeux étaient en tout point identiques aux tiens maintenant... Ca m'a fait bizarre de te voir quand tu m'as acheté... "

La jeune fille déposa un baiser dans le cou de Kaori et reprit:

"J'ai eu peur pour toi tout à l'heure... J'ai cru que plus jamais je ne te reverrais vivant. Mon coeur a failli exploser quand il te maintenait en son pouvoir... Je voulais pas qu'il te fasse du mal..."

Sa voix se tut... Elle disait les choses telles qu'elle les ressentait au plus profond de soi, telles qu'elle les avait éprouvés... Elle ne voulait plus jamais à avoir à vivre cela...

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Il sentit dans la question de Sachiko un léger reproche. Il se sentait mal de ne pas lui avoir dit. Elle s’avança et se mit tout contre lui. Il frissona. Ses bras l’entourèrent et ses mains caressaient son dos. Il sentait le corps de Sachiko contre lui. Mille et une émotion venait en lui. Il écoutait avec attention ses confidences.

Un frisson de plaisir parcoura tout son être quand la jeune fille l’embrassa dans le cou. Il se taisait car il ne voulait pas briser cet instant magique.

Ses doigts effleurèrent son visage pour se poser sur le cou de la jolie esclave.

Quand elle eut finit de parler, il la regarda droit dans les yeux. Et l’embrassa avec fougue et passion. Puis il se mit à parler d’une voix douce, sous le ton de la confidence..

- c’est vrai que je t’ai pas dit grand chose sur moi …. Mais j’avais tellement peur de m’attacher à quelqu’un qui partirait. Je ne voulais pas profiter de la situation et que tu ne m’aime seulement par ce que je t’avais sorti de ce marché.

Sa voix se faisait tremblotante par moment. Souvent les mots du cœur ont du mal à être dit.

- Sachiko, je te dirais tout ce que tu veux savoir sur moi. Je te demande pardon et j’aimerais que l’on reste ensemble. Je t’abandonnerais jamais

Et l’embrassa longuement.

- Je t’aime

Son amour était vraiment immense pour cette jeune fille c’est peut être pour cela qu’il avait du mal à voir en elle une esclave.

Ses mains passèrent sous ses vêtements. Les caresses se faisaient plus sensuel. Il massa délicatement le ventre de Kaori tout en remontant jusqu'à ses seins. Chaque mouvement était fait avec amour. Les caressent se firent plus coquines, les regards plus complices, les baisers plus passionnés, il n’y’avait plus ni maître, ni esclave ce soir la dans cette petite maison, mais juste un couple d’amant qui s’aimait éperdument.
Kaori sorti sa chemise, qu’il mis hors du lit, puis lui enleva son chemisier et la serra tout contre lui. Et c’était corps contre corps qu’ils voulaient rester. Ses lèvres, effleurait la peau de Sachiko. Les effleurements se transformèrent en une multitude de petits baisers.

Leurs cœurs battaient à l’unissons, aucune autre chose ne pouvait être important. Les désirs se firent plus intenses, leur amour plus fort.

[mon petit Ric, tu t'embrouille dans les noms XD]

"Je t'aime moi aussi..."

Un murmure sur ses lèvres, une passion dans son coeur. Elle frissonna aux caresses de son maître... Elle rejetta d'un geste souple de la main, ses longs cheveux sur son dos... Doucement, elle embrassa l'homme qu'elle aimait. Elle voulait lui appartenir pour l'éternité.

Sachiko lui demanda alors:

"Tu crois que c'est permis, l'amour entre un maître et son esclave?"

Ses grands yeux noisettes l'interrogeaient. Elle voulait des réponses à chacune de ses question. Elle entoura de ses bras le corps de Kaori et le fit basculer en riant sur le lit...

Puis elle lui redemanda alors:

"On pourra rester ensemble jusqu'à la fin de notre vie???"

Elle l'embrassa de nouveau, faisant courir ses lèvres vermeils sur son torse. Elle lui caressa le visage doucement, le bout du nez, les cheveux... Sachiko lui posa une dernière question:

"Est ce vous m'aimerez toujours?"

Ses yeux pétillaient de curiosité... Elle voulait tout savoir...

Nombre de messages : 94 Age : 114 Date d'inscription : 22/09/2006

**l ‘amour entre un maître et son esclave… **

Ses doigts glissèrent dans les cheveux de Sachiko Il la regarda droit dans les yeux, faisaitant glisser sa main sur son visage, en s'arrêtant sur la bouche.

- ou j’en suis persuadé, l’amour est universel. Bien que j’ai peur que tu m’aime pour ce que j’ai fait pour toi que pour moi…. Mais je crois que c’est possible si tu arrive à oublier ton rang d’esclave et moi celui de maître … un couple qui s’aiment……

Approchant sa bouche de son oreille il lui chuchota.

- je t’aime de tout mon cœur et pour moi tu es avant tout une femme …

Il caressa du bout des levres l’oreille de Sachiko, et depoas sa langue dans le creux de celle ci...

Chaque caresse de sa partenaire faisait monté en lui des sensation nouvelles. Il ne la quittait pas des yeux.

- je crois que rien ne pourra m’empêcher de t’aimer. Je t’ aimerais toute ma vie et même dans l’ au-delà si il y’en a un. Si tu veux nous partirons après ce voyage sur une autre île ou personne ne sauras qui nous sommes et nous serons tranquille, car je sais que sinon a Suden, aux yeux de certains tu seras toujours une esclave et ca pourrait être diffiicile pour toi… qu’en penses tu ?

Il caressa la peau douce de Sachiko.et l’embrassa avec tendresse

- tu vas peut être trouver ca étrange mais quand je t’ai vu caresser cet ours immense, j’en étais envieux, j comprenais pas trop pourquoi…. Je ne pouvais imaginer tous ces sentiments que je gardais enfouis au fond de moi…

Les lèvres, et la langue parcouraient le corps de sachiko. Chaque mouvement se faisait caresser. La tête posait sur sa bien aimé une oreille à l'ecoute du cœur de la jeune esclave, qui bondissait de joie.

"Je t'aimerais toujours... Quoiqu'il arrive.. "

Son visage se pencha doucement sur celui de Kaori, ses longs cheveux d'ébène glissant voluptueusement sur ses épaules d'ivoires, sa poitrine blanche... Elle approcha ses lèvres des siennes, sans pour autant l'embrasser et lui murmura alors:

"Je ne t'aime pas pour ce que tu as fait pour moi... Je t'aime parce que c'est toi... Cette dette que j'ai envers toi, je ne la dissimule pas derrière un amour interessé... Je te prôtège simplement durant tout le voyage, m'assure que tu ne manque de rien, pour avoir la certitude que nous parviendrons jusqu'au bout de l'île ensemble... C'est ainsi que je me purgerais de cette dette... Pas autrement"

Elle n'était pas un objet en amour... Et elle ne voulait surtout pas l'être. Sachiko passa sa main dans les cheveux de Kaori, jouant avec ses mèches. Elle se pencha près de son oreille, et lui murmura alors doucement:

"Je suis tienne pour l'éternité... où tu iras, je te suivrais... Mon corps sera une seconde ombre pour toi, et rien n'arrêtera l'amour démésuré que je te porte... "

Elle l'embrassa avec douceur, lui offrant alors son corps et son âme dans cette promesse...

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Il restait muet devant une telle déclaration d’amour. Ses doigts caressèrent son visage quand elle lui disait tout son amour. Kaori buvait chacun des mots de Sachiko comme si il voulait qu’ils restent a jamais gravé dans son cœur. Tout son être était ému par tant d’amour. Comment avait il pu être si aveugle pas voir cette femme qui l’aimait. Elle avait du souffrir a ne rien dire.

Les murmures de sa bien aimé le faisait exulter de joie. Il n’y avait plus belle chose qu’il n’ai vecu. Elle était la première femme de sa vie et elle serait l’unique.

- Je t’aime Sachiko

Il tremblait en disant ses mots. L’émotion était à son comble. Il n’avait pas les mots pour répondre a une telle preuve d’amour.

- tu es mon amour et je veux vivre tout le long de ma vie. Tu remplie mon cœur de joie et de bonheur.

Il couvrit Sachiko de baisers passionnés. Ses doigts dansaient sur tout le corps de la jeune fille. Des caresses et effleurement qui partaient du cou, en passant par ses seins, pour finir sur le sexe. Les gestes étaient délicats tantôt lent tantôt rapide. Il cherchait a donner du plaisir à sa partenaire. Il guettait chaque geste, ou signe d’elle pour qu’elle atteigne le plaisir, et s’adapter ses caresses, à ses désirs.

[tres belle déclaration Oo]

La jeune fille se mordit les lèvres, retenant ses effusions de plaisirs. Elle aimait se montrer discrète, pas explicite et dérangeante. Ses doigts carressèrent les cheveux de Kaori, faisant glisser ses doigts sur le visage du jeune, frolant ses lèvres, son menton, les descendant doucement dans son cou, sur son torse, sur son sexe.

Elle n'avait jamais éprouvé ce genre de sentiments, c'était nouveau pour elle. Sachiko enlaça doucement son maître. Elle aimait la chaleur de son corps contre le sien, le sentir respirer contre elle. L'adolescente l'embrassa, lui offrant ses lèvres. Elle l'aimait passionnément. C'était la première fois pour elle qu'elle aimait quelqu'un de cette sorte.

Son coeur avait été en quelque sorte fermé, par une clé invisible. Elle s'était refusée à d'autre. Mais aujourd'hui, c'était complétement différent avec lui.

Le plaisir montait en elle de plus en plus... Elle sourit, les joues roses, et dit alors dans un soupir, se mordant à moitié les lèvres:

"Je ne veux être qu'une avec toi..."

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Il rayonné de bonheur dans les bras de Sachiko. C’était pourtant peu habituel de le voir si heureux. Il l’embrassa longuement.
Il aimait sentir sa respiration sur son cou, caresser son corps, il ne s’en lassait pas.

Il ferma les yeux de plaisir envoûté de par les caresses de sa princesse. Il se laissé possédé par cet amour immense.
Avec des gestes tendre et passionnes il s’unir. Un cœur à cœur, Corps à corps sexuels, inondant de plaisir Kaori, par des mouvements lent et tendre ils prenaient le chemin de l’extase. Eruption de désirs, explosion de plaisir, jusqu'à une plénitude amoureuse. Une fusion de corps comme si ils n’était plus qu’une personne. Il aurait voulut que cela soit éternel. Il savait qu’il avait trouve son amour, oû son âme sœur.

Quand le désir redescend l’amour est toujours là. Kaori se sent paisible dans les bras de son esclave qui devenait sa princesse. Moment magique qu’ils pourraient faire durer toute une vie. Promesse de bonheur et de joie futur, Kaori finit par briser se silence divin.

- je suis a toi, entièrement âme et corps.

Ses lèvres goutèrent avec délice celles de Kaori. Ils se couchèrent l'un contre l'autre, leurs respirations n'étant plus qu'une sublime fusion. Ils étaient nus, leur corps collés ensemble, les draps du lit courant sur leur peau découverte. La jeune fille déposa un baiser dans le cou de Kaori avant de s'endormir. Sa blessure lui faisait toujours mal, mais elle se sentait apaisée dans les bras de son maître.

Ses rêves furent doux et calmes, signes que tout irait bien pour la suite.

Ses doigts glissèrent avec douceur sur le torse de Kaori. Elle ouvrit les yeux doucement. Dehors le Soleil était levé... Son amant dormait toujours à ses côtés. Elle reposa sa tête au creux de l'épaule de Kaori. Du bout des doigts, elle caressa son visage, et murmura alors:

"Il va falloir qu'on reprenne la route aujourd'hui..."

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Réveillé doucement par la voix de sa bien aimée. Kaori ouvrit tranquillement les yeux. Il n'avait pas rêvé, elle était là tout contre lui
Oui il allait falloir poursuivre leur aventure, car elle ne faisait que commencait en realité vu tout ce qu'ils avaient encore à parcourir.

Sa main se perdit dans les cheveux de Sachiko.

- oui le chemin est encore long

Mais il voulait tprolongé encore quelques instant encore ce moment de bonheur.
Ils resterents plusieurs heures à se caresser, s'embrasser, rire partager et bien d'autres choses encore....

Quand ils se deiciderent enfin de partir la matinée était bien avancée, mais c'est le coeur leger qu'ils reprirent le chemin. Kaori avant de quitter la maison avait pris soin de remplir le sac de provision, et les gourdes d'eau fraîche.

» Qui joue encore ?? venez nous le dire ....