Kill me....but don't change my eyes...[maître pv XD]

[titre n'ayant aucun rapport avec le sujet, j'écoute The kill alors sa déteint^^]

Une fin de journée, trop sombre pour n'être que normale... Oui, il commençait à s'accumuler, la haut, dans le ciel, de lourds nuages noirs... Et Sora qui était dans une de deux seules cages à ne pas être à l'abris attendait pattiemment la pluie, ses longues ailes de corneille repliées sur lui... Ses yeux vides posés sur les barreaux, il ne scillait pas... Mais son compagnon, à coté, lui était en bien piteux état! en effet, il tournait dans sa cage, comme un cheval fou, comme un étalon, qui, au contact d'un humain deviens fou et dangereux pour se protéger et défendre sa fierté des plaines... Oui il était ainsi... Sora lui, faisait plutôt penser à une créature blesser, n'attendant que son heure... Mais il faudrait parfois se méfier des apparences trompeuses!
Dix minutes plus tard, comme l'avait prévu Sora, la pluie se mit à tomber, il se réfugia sous ses longues ailes (un mètre cinquante^^) et continua de fixer les barreaux... Le compagnon, lui, était fin fou, appellant notre héro (XD) et tout ce qui pouvait être à porter de main... Un éclair frappa, les ailes de Sora se serrèrent, car, notre chimère avait peur de cela, cette électricité, qui sortait dont ne sais trop où! Le marchant finit par enfin arriver, sortant le fou de sa cage, il l'attacha et l'emmena à l'intérieur... Laissant la corneille seule! Mais, il n'osait rien dire, laissant ruisseler la pluie sur ses vêtement de cuir, il commençait même à avoir froid, car tout le monde le sais, une plume malade ne retient pas beaucoup l'eau, et Sora n'était plus au meilleur de sa forme depuis, longtemps, si bien qu'un écriteau marqué " attention esclave malade, contagieux" Tu parle! Il n'avait attraper qu'une maladie bénine! normal direz vous, après treize ans d'enfermement, dans la même cage, sans sortit...
Notre chimère replia ses jambe contre lui, la grêle commençait à arriver, et sa allait encore lui faire du mal, arrachant ses belles plumes de jais... Il ferma les yeux et baissa la tête, pour éviter de recevoir le gel sur le visage... Oui il faisait pitié, pourtant, il avait l'habitude de tout cela...
Sa gammelle (Eh oui) de nourriture, il n'y avait pas touché depuis deux jours, l'eau, il l'avait à peine effleurée... Oui sa décision avait été prise, il n'attendrait pas deux ans de plus dans cette cage, autand mourir que souffrir! Avec un peu de chance, cette grêle le tuerait... Mais il ne faut pas trop rêver non plus!

Tout les autres était en train de manger tranquillement à l'abris et au chaud après l'orage, quand soudain un bruit de pas dans l'eau le fit lever un oeil, oeil dépourvu de tout! pas de sentiments! rien! Mais, la douleur dû aux grelons tombez quelques minutes auparavant, l'empêchait de faire mieux, alors sachant que cet humain ou autre, venait chercher un esclave, il dit de sa voix de zombie, et mauvaise:

" Tout droit, à gauche ... Vous entrez c'est là "

Il ne bougea pas plus que cela, refermant à nouveau les yeux...

[post court désolé]

Teresa n'avait rien dit. Elle n'avait rien fait. Elle l'avait regardé partir sans rien dire. Pourtant, il avait lut la douleur dans ses yeux. Il avait vu qu'elle voulait le retenir. Mais elle n'avait rien fait. Elle savait qu'il était tant, et qu'en ce triste 15 mars, rien ne le retiendrait. Comment lui décrire qu'il allait surement beaucoup changer durant ce voyage. Il n'avait pas pu le lui dire, enfin, presque pas...

A vrai dire, Siddin lui avait dit au revoir. Alors qu'il courrait dans les rues, il se souvenait de ce moment récent. Enfin, il ne courait pas vbraiment, il trotinait pour éviter la pluie. Le temps était à l'honneur pour cette sombre et funeste journée. Mais l'adolescent qui allait devenir un homme ne put s'empêcher de sourire...

Alors que Tess lui avait dit qu'elle acceptait sa décision, il s'était approché d'elle. Il la dépassait d'une bonne demi-tête. Il l'avait prise dans ses bras et elle avait échappé un vague "je t'aime" avant d'enfouir son visage dans le cou du garçon. Il lui avait gentillement caresser les cheveux, lui baisant le front, et avait échangé avec elle son premier baiser. Ce moment avait été merveilleux, mais très court. Il avait tourné le dos. Tout ça c'était passé après les hômmages. Il avait attrapé son sac et était partit de la maison...au début en courant, pour ne pas voir les larmes de Tess...

Siddin se décida enfin à marcher, il venait de manquer de s'étaler sur le sol, et ça ne lui disait pas vraiment. Ses chaussures noires claquaient dans la rue au sol de pierre. Il ne savait pas vraiment où il allait, mais il devait s'acheter un esclave. Il n'était pas vraiment pour ce genre de...moeurs, il choisirait donc celui qui aurait l'air le plus malheureux. Il était comme ça Siddin...

Lorsqu'il déboula sur la grande place, un coup de tonnerre retentit puissemment et il grimaça. Son instant animalier n'aimait pas ça. Il se passa une main dans ses cheveux et se félicita d'avoir pensé au parapluie. Des panneaux indiquaient diverses rues qu'il ne fréquentait pas...à commencer par la rue aux esclaves. Cette rue ne comportait que des boutiques d'eclaves. C'était assez...Effroyable.

Le jeune Nell se dirigea en direction de l'allée sordide et grogna de mécontentement en se rendant compte qu'il venait de marcher dans une flaque d'eau...qui n'avait heureusment pas tâché ses affaires. S'il n'était pas fier de sa richesse, Siddin détestait mouiller ses vêtements. Bien sûr, il savait que ça arriverait durant son périple, mais là, il pouvait l'éviter.

Ses pensées voguèrent vers Elia tandit qu'il regardait les premières boutiques où toutes les... marchandises avaient été rentrées. C'était des endroits chaleureux où les esclaves devaient être grassement traîté pour être bien présenté aux riches. Elle aurait été tant fier de lui en le voyant se préparer pour le voyage...

Siddin contempla une enseigne miteuse, et n'osa pas rentrer. Il se doutait que les esclaves étaient frappés et mal nourris mais... cette entrée lui faisait froid dans le dos, et il n'y serait pas rentré, même pour tout l'or du monde. Le jeune homme continua son chemin et remarqua une cage occupée et...dehors ! Par ce temps pareil, elle était dehors ! Il s'approcha à grands pas et contempla la "créature qui se trouvait dedans".

C'était une chimère toute recroquevillée. Elle possédait des ailes et avait l'air mal en point. L'adolescent s'agenouilla et regarda de plus prèt la chimère qui s'adressa à lui avec une voix proche de celle d'un mort. Un écriteau prévenait que l'esclave était malade. Siddin grogna de dégoût et ouvrit la cage. Une espèce d'alarme rententit dans le magasin et un homme armé d'un fusil sortit. Il allait abattre la chimère encore dans la cage lorsqu'il vit son "sauveteur".

L'homme était un brun barbu, du genre colosse et pas très sympathique. Pourtant, lorsqu'il vit les vêtements, puis le visage, de son futur interlocuteur, il se ratatina. Sa bouche décrivit une grimace qui devait être un sourire et il dit d'une voix qui faisait penser à une vieille porte très mal graissée :

"Messire Nell ! Quelle joie de vous voir devant mon modeste magasin ! Vous ne devriez pas vous approchez de cette créature, elle est contagieuse et de très mau...

-Tais-toi !"

Siddin n'avait pas élevé la voix. Il avait juste prononcé ces mots avec une force glacial qui finit de geler les sangs aux quelques crétns qui étaient sortis pour voir ce qui se passait. Siddin reporta son regard sur la chimère et lui fit un sourire en se rendant compte qu'un oeil furtif s'était posé sur lui. D'une voix si douce qu'on avait peine à croire qu'il venait de s'adresser sèchement au propriétaire, il lui murmura :

"Sors de là, ce n'est pas un endroit pour toi..."

Il reporta son attention sur le visage rouge de gène du propriétaire qui semblait à la fois rageux qu'on donne des ordres à ses esclaves à sa place. Siddin entendit les ailes bougées pour permettre à leur propriétaire de sortir de la prison trop étroite. Un air de haine flotta dans le vert regard de Siddin qui fixait intensément les yeux du propriétaire. Il s'approcha de lui, et souffla d'une voix à peine audible au barbu avant de lui remettre les pièces :

"Crois-moi, je repasserais... Si tu traîtes encore ainsi un humain...je te couperais ce qui te sert d'appareil reproductif... et ce, avec une paire de ciseaux mal aiguisés... compris ?"

Déglutissant avec peine, le vendeur allait dire qu'il était d'accord, mais son jeune interlocuteur ô combien puissant s'était reculé d'un pas, laissant plus de monnaies dans les mains moites que ce que vallait la chimère et avait d'éclaré d'une voix puissante et enjouée :

"Je prends ceette jolie chose avec moi. Je suis sûr qu'elle me sera utile pour le voyage."

Siddin s'approcha de la chimère et lui demanda son nom à voix basse. Elle avait du mal à tenir debout...elle ? Non, il. Cette chose toute faible était un garçon qui devait être dans la même tranche d'âge que ce qui était désormais son propriétaire. Le jeune homme lui prit la main pour l'aider à tenir sur ses jambes et se retourna pour répondre au propriétaire qui venait de lui demander s'il voulait une laisse pour traîner ce "chien" :

"Messire, je craint que nous ne nous soyons mal compris, c'est ce jeune garçon que j'emmène... pas vous !"

Sa voix avait été glaciale, elle aurait pu geler un océan. Même avec le caractère comique qu'elle possédait, personne n'avait osé émettre l'ombre d'un sourire. Le jeune Nell avait tiré sur la main de son esclave et l'avait emmené un peu plus loin où il s'était arrêté pour le faire s'asseoir sur un tonnelet à peu près sec et lui demander :

"Tu as faim ? Quelle est ta maladie ?"

Se rendant compte qu'il manquait d'une grande politesse, il avait sourit et rougit devant les beaux yeux de son esclave. Même triste, il les trouvait beau. Il lui murmura d'une petite voix timide qu'il n'utilisait que pour faire sourire les gens :

"Au fait...je m'appelle Siddin..."

Quoi?! Cet homme ne passait pas son chemin? Quelle poisse! Il n'allait pas le laisser mourir en paix... Tout les humains sont pareils, n'est ce pas, du oins dan sl'esprit de la jeune chimère, qui ne disait rien, ses yeux viollins cachés par ses cheveux d'une couleur identique ... Il ne bougeait pas, ses ailes posées, mortes... Quand soudain il surssauta, le bruit de fer de la cage l'éveillant plus qu'il ne l'avait été depuis ses treize ans enfermé, assis dans la terre, sans bouger... Ses yeux, alors d'une teinte noire comme la mort, se tournèrent vers le fusil, d'un air effrayer, comme une corneille face à un fil barbellé, les ailes empètrées dans la feraille... Son inspiration se fit plus rapide, quand soudain, il vit que le marchant abbaissait l'arme, ce qui le fit souffler, comme un oiseau... Et quant-il entendit le marchant, il serra les poings, ayant une envie soudaine de tuer l'autre huluberlu! Ses yeux virant au rouge profonds, redevinrent violins aux dires de l'autre homme... Sa voix était mauvaise, mais Sora avait confiance, il n'était pas le genre de personne à être tellement froide... Quoique! On ne sais pas ce que nous réserve l'avenir... Il leva un oeil vers Siddin, qu'il tourna ailleurs directement en voyant l'inconnu lui jeter un regard... Cpendant, quand l'autre lui murmurra de sortir, et que son ouie de corneille l'entendit, il se laissa tomber en avant, mains au sol, et sortit de la cage, cela faisait si longtemps! Qu'il n'était pas sortit, que ses jambes faisaient un peu des leurs... Il ouvrit ses deux ailes, qui émirent un craquement rauque dut au fait d'avoir été pliées pendant si longtemps... Il allait devoir les remuscler pour voler... Il soupira, ayant réussit à trouver un équilibre pour ses jambes tremblotantes, il retint une toux, qui l'aurait fait tomber... Et écouta ce que dit son futur maître à ce maudit marchant, esquissant un sourire froid, il ne bougea pas... Ses vêtements de cuirs noir encore trempés par l'eau... Il secoua une aille, qui craqua encore, et entendit la phrase qui contenait jolie chose Ôo, inh?! Mai sil parlait de lui là?! Sora ne bougea pas, les yeux rivés sur son maître, d'un air étrange, comme perdu, il voulait fuir! cela lui rapellait trop son maître, ce violeur!... Quand il le vit s'approcher, il ne bougea pas, même si son âme le lui disait... Mais son maître ne fit que lui demander son nom... Alors sa voix s'éleva enfin, faible et beaucoup plus innocente qu'avant comme si il avait changer de monde...

" Sora... "

Sora....Comme le ciel, et tout ce qui s'y trouve... Il ne détachait pas le visage de l'autre, de peur? Quand il sentit une main lui prendre la sienne, il avala de travers, empêchant encore une toux, pourtant, le jeune esclave ne broncha pas... Il regarda le barratin de la laisse, et ne dit rien, suivant son maître, comme il pouvait, ne détruisant pas le silence, il se laissa assoeir sur le tonneau, regardant son maître... et répondant à ses deux questions:

" Non... , ma maladie? bronchite carabinée... "

Non, il n'avait pas tousser, se retenant, et puis un bronchite, ce n'était rien pour un humain, mais pour une chimère au sang d'oiseau... Cela était mortel... Quand le maître lui dit son nom Sora ne redit rien, gardant un silence implaquebla... Se souvenant, pendant qu'il marchait, avoir vu tant de cages, des vitrines, et même des filles >< Quelle honte! En plus elles semblaient soeurs... Le jeune garçon ne bougea pas, ses yeux de fleurs se promenant sur la vitrines assez lointaine ...Car qu'on l'enferme lui, erreur de la nature, monstre, d'accord, mais franhement pas des filles, et dieu sais qu'il ne les aimait pas forcément....Mais bon, ce qui dégoute, dégoute, et on y peut rien....

Kahlan était assise dans un coin de la cage dans laquelle elle était emprisonée. Ses yeux rouges fixés sur le ciel sombre, qu'elle apercevait de l'autre côté de la vitre crasseuse de la boutique. La voûte céleste s'obscursissait de minute en minute, envahit par de sombres nuages moutonneux.

La pluie ne tarderait sans doute pas à tomber sur le marché aux esclaves. Il était établit dans une petite rue ouù quelques concurents tentait de vendre leur marchandise humaine. Tous enfermés dans des cages, comme elle, ou portant des fers, ce à quoi elle avait tout de même eut la chance d'échapper.
Mais ceci uniquement grace au calme qu'elle affichait, c'était en fait une indifférece profonde pour ce qui se passait autour d'elle, la seule chose qu'elle désirait c'était d'oublier les barreaux entre lesquels elle était cloitrée.

Elle attrappa une mèche de cheveux derrière son oreille droite, et avec une lenteur calculée tressa les fibres à la couleur légèrement fumée. Tout en tripotant sa fine natte elle laissa son regard vagabonder de cage en cage, de marchant en marchant de client en client.
Les uns étaient jeunes et trop bien habillées souvent accompagnés par leurs pères, trop vieux et trop gras, ou leurs mères, inquiètes à l'idée du voyage qu'il allait entreprendre. Si la plupart des esclaves étaient achetés par des jeunes, c'était pour réalisé le voyage traditionnel, la traversée de l'île avec son esclave.

Kahlan repensa au temps où elle vivait encore avec ses parents. Elle n'avait plus de rancoeur. Il ne servait à rien de gaspillier ses larmes pour ses pauvres parents. Pauvres phyiquement et moralement. Vendre le fruit de ses entrailles ne reflettait pas des gens très soucieux des autres. Mais Kahlan avait décidé de passer l'éponge. Ils ne faisaient désormais plus parti de vie !
Mais elle regrettait tout de même le temps où elle voyait leurs aînés, jeunes adultes du voisinage, partir pour ce voyage, qui paraissait subjugué les jeunes aventurier qui se lenserait bientot dans ce périple.

Souvent, elle écoutait les plus grands en parler ...Mais jamais elle n'aurait imaginer qu'un jour elle aurait de forte chance de le faire en tant qu'esclave. Sa rancoeur revint alros au galop, mais elle sut la réprimer, elle en avait pris l'habitude.

Ses deux iris de braise étaient toujours accrochés à la vitre sale. Kahlan apercevait de l'autre côté toujours plus de clients différents. A ce moment là passait devant le magasin deux jeunes hommes. Il était évident que l'un devait être le maitre :sans doute le blond, habillé sombrement, mais classe ; l'autre était l'esclave : un brun affaibli par l'enfermement. Ce dernier leva un regard dans sa direction, elle n'eut pas la possibilité de détailler son visage, car la porte de sa cage venait de s'ouvrir
Le marchant à qui elles appartenaient, elle et sa soeur, leur dit de sortirent ...

Un acheteur potentiel sans doute ... encore une fois ...

[un petit post ... j'ai la flemme de faire mieux ^^]

Delyan tournais comme un ours en cage la pluie l'avait apaisée mais la grêle n'etait pas pour elle un bon presage. Sa soeur regardais la rue en tripotant ses cheveux elle se decida, fit un dernier tour et trouva la brousse a cheuveux soigneusement "empreinté" a un commercant hambulant passant peu loin lors d'une sortie. Leur vendeur était assez arrangeant quand elle atrapais de quoi ameliorer l'aparances de ses produit si ca ne lui retombais pas dessus. Donc partage oblige. L'elfe retourna aupres de Kalhan se postant derriere elle et armée de la brosse elle se fit un devoir de demeler les longs cheveux couleur fumée retombant en volupte sur ses cheveux. Une fois tous les noeuds enlevés elle se decida pour une grande natte, la même que ce qu'elle lui avait fait precedament.
Delyan sourit, elle adorait sa soeur, à ses yeux nul n'était plus belle! Au yeux des autres elles étaient semblables. Les idiots!
La première différence visible était leurs cheveux, mais aujourd'hui leur état les faisaient paraitre identique. Pourtant les siens était tel que la neige et ceux de Kahlan avait de doux reflet gris qui le rendaient moins agressif.
Ensuite pour quiquonque les observaient leur différence de regard était évidente. Les grands yeux légèrement rougeoyant offrait aux orbres foridement ambrés de Delyan une lecture toujours aussi passioné.
"La plus belle", comme elle aimait l'apeller, déclarait souvent "Nous sommes blondes". C'est comme ça qu'on apelle les gens aux cheveux blancs. A ces moments elle souriait doucement et approuvait car " Kahlan a toujours raison". Cela ne servait à rien de discuter.
La pyromane soupira et tira doucement sur son collier disciplinaire, un des rares investissement du commercant. Un truc genre dernier cri avec électrocution et étranglement sur simple pression de la pierre de commande, garantit un an. Dans la cage il n'était que deux à le porter. Elle et un animorphe canard. Kahlan est trop belle et trop gentille pour porter un tel collier. Lui, sa tète ne revenait pas au marchand et il avait tendance à se faire attraper quand il volait. Quand à Delyan ce n'était pas le vol qui lui avait valu ce magnifique collier mais ses nombreuse colères et refus d'obéïr. L'accesoire de discipline s'activait souvent pour rappeler aux autres esclaves de ne pas profiter des éventuel écart du vendeur.
Dailleurs la cage s'ouvrit laissant apparaitre l'homme qui aboya dans leur direction: "Les jumelles amenez vous! "

*Encore un pecnot pervers*
- Et si on veut pas? Défia Delyan...La réaction fut immédiate. Elle tomba à genoux s'étranglant à moitié sous les décharge d'électricité. Se relevant difficilement, comme toujours elle suivit sa soeur déjà à l'entré de la cage en compagnie de deux personnes immédiatement catégorisé ainsi : Cheveux noirs et cheveux blanchâtre. Le maitre se distinguait par ses habits nobles et sa beauté ce qui laissait comme à chaque fois Delyan indifférente. L'autre avait l'air malade.

*Ce serait con qu'il creve vite lui j'espere que c'mec nous prendra pas mais il a pas l'air de savoir choisir un esclave*

[Hihi j'ai fait encore moins long xD]

» Open me yours eyes...[PV akira]